i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac)

isaac kolston
i’m slowly dying inside. eaten alive.
© poetic-beats/tumblr

never trust or love a wild thing.

âge ~ vingt-six années à la quête de lui-même. des années de débauche à son compteur. date et lieu de naissance ~ le vingt-neuf mars à new york. nationalité ~ américano-russe. le mélange volcanique. métier ~ consultant junior en stratégie business-corporate pour l'une des entreprises de son "nouveau père". statut civil ~ les relations fleurissent puis périssent. à cause de lui; probablement. il ne se remet pas en cause isaac. il s'en fiche, il aime la liberté. l'amour finit toujours par le rendre fou. littéralement. statut monétaire ~ bien des années auparavant, isaac, il aurait répondu médiocre. toujours à trainer dans de sales combines pour gagner un peu d'argent. puis il est tombé sur l'une des familles les plus fortunées et s'assure désormais un statut social plus aisé. groupe ~ really don't care

all night long slow down the song

Les mains dans les poches, la cigarette accrochée aux lèvres, les yeux rivés sur la ville, perché sur un toit d’un gratte-ciel. Cherchant le calme qu’il n’était pas parvenu à trouver ces dernières années. Son regard clair qui arpentait chaque recoin sombre de New York, ces rues sombres que tout être censé évitait. Il se remémorait de tout. Du meilleur, comme du pire.

Des débuts fastidieux; marquée par une enfance douloureuse suite à la négligence d’une mère un peu trop dépendante à la drogue et à l’alcool, négligeant ses deux enfants, ceux qu’elle n’avait probablement jamais voulu mais ceux qu’elle était censée élever après le départ de leur père. Elle avait finalement abandonné, se terrant dans ses plaisirs destructeurs, lui faisant oublier ô combien elle avait échoué dans sa vie. Elle avait fini par les laisser livrés à eux-mêmes, et les services sociaux avaient été bien vite avertis. Artyom, lui, il avait pris soin d’Isaac, de son petit-frère. Depuis toujours. Et son devoir avait perpétué jusqu’à aujourd’hui. Ils avaient été séparés, emmenés dans des familles différentes. Il en avait vu défiler des visages Isaac; à des portraits de famille comique, catholique, parfois même délirant. Il ne s’était jamais senti chez lui, il s’était toujours isolé. Ne parvenait à se fondre dans une famille déjà constituée, une famille qui n’était pas la sienne. Parce que sa seule famille, c’était Artyom. Des gamins qui n’étaient pas voués un avenir brillant. Des gamins marqués au fer rouge, qui n’échapperaient pas à l’avenir sombre qui s’était dessiné pour eux. Isaac, il était le chaos même, ravageant sur son passage coeurs et âmes.

Année 2000 (à peu près 14 ans). Isaac, il n’avait jamais été un gamin qui se laissait marcher dessus. Il ne s’était pas contenté d’accepter tout ce que les autres lui disaient. Parce que des remarques, il en avait subi. Il avait tout entendu. Ces insultes à répétition, ses messes-basses quand il errait dans les couloirs. Et parce qu’il ne parvenait à ignorer ceux qui venaient le narguer, il frappait. Ca avait commencé gentiment par des bousculades pour se terminer par des coups de poings. Un gamin perturbé, aux besoins inexorables d’exprimer sa colère à travers la violence. Il n’essayait pas de répliquer intelligemment, il frappait. Un gamin qui pouvait être brillant mais qui refusait de se donner les moyens de s’extirper de cette vie. Il n’écoutait personne, hormi son frère qui respirait autant la colère. Les familles finissaient toujours par s’en séparer, parce qu’ils ne parvenaient à le calmer. Parce qu’il était un gamin colérique, faisant trembler les murs de chacune des maisons dans lesquelles il était resté. Il se fichait des conséquences. Des remontrances, il n’écoutait personne. Il balayait l’autorité d’un cynisme et d’une arrogance sans nom. Il traînait toujours dans des combines pour se faire de l’argent. Des jobs peu licites qui lui permettait d’acheter sa consommation de cannabis hebdomadaire. Il n’avait peur de rien, l’autorité ne l’effrayait pas, mais le faisait rire. Il était un gamin silencieux en cours, qui ramassait parfois quelques bonnes notes mais ne souhaitait pas être placé sous le feu des projecteurs, craignant de faire l’objet d’une discrimination positive.

Année 2002 (16 ans). Il se rappelait de cette famille. Son sang se glaçait encore à la pensée de cet homme malveillant, à ses regards envieux. Cette famille catholique qui allait à l’église tous les dimanches, appréciée au sein de la communauté tant pour son intégrité que ses actes louables. Il était convaincu qu’Isaac guérirait de tous ses maux par la religion, par les prières. Isaac, lui, il lui riait encore au nez, emmerdant les principes religieux, les repas du dimanche, les prières le soir. Il arborait toujours des bleus au visageIsaac. Des lèvres fendues. Des hématomes sur le corps. A la quête du danger, à la quête de sensations fortes, il n’avait pas de limite. Son compagnon fidèle qui n’était autre que son frère qui l’accompagnait dans chacun de ses déboires. Il se bagarrait, connu des services de police, relaxé parce que le père de sa famille d’accueil arrivait toujours à les convaincre qu’il n’était qu’un môme perdu. Il n’écoutait personne, se contentant de lever les yeux au ciel à chacune des morales faites, pour se glisser en dehors de sa chambre la nuit tombée. Y avait cette fille. Nora. Cette gamine de treize ans silencieuse. Ils ne parlaient pas de leur vie antérieure, mais Isaac, il était persuadé qu’elle était de celles aux pâles histoires. Alors il l’amenait à ses soirées en se glissant la nuit par la fenêtre, l’attirant dans sa décadence nocturne, observant la gamine grandir, s’épanouir quand il l’amenait en dehors de cette prison. Il n’aurait jamais soupçonné que le père de cette famille bien dressée puisse un jour poser ses mains sur Nora. Nora, cette gamine à laquelle il s’était finalement attaché. Un peu contre son gré. Elle lui avait dit un jour ce qui lui avait fait. Et Isaac, il n’avait pas réfléchi. Débarquant dans le salon, le prenant par le col de sa chemise impeccablement repassée. Le poussant contre le mur, et le frappant. Provoquant des cris, de la stupeur. Personne ne pouvait l’arrêter dans cette colère. Ses phalanges se brisaient contre son visage, personne ne pouvait le contenir. Jusqu’à ce que la police arrive et l’embarque. Il se débattait Isaac, prêt à sauter à nouveau sur le père de famille qui, apeuré, le visage ensanglanté, l’accusait de tous les maux sur Terre, assurait ne pas comprendre pourquoi Isaac lui avait sauté dessus, lui reprochant d’être une victime collatérale d’une enfance malheureuse. Et Isaac, parce qu’il était mineur, fut conduit à une maison de redressement dans laquelle il séjournait six mois. Six mois où il fut privé de la voir, parce que le père de famille l’avait interdite à aller voir ce ‘délinquant à l’avenir véritablement compromis’ qu’il balançait, quand on amena Isaac dans la voiture de police. Son frère venait le voir souvent, parce qu’Isaac s’endurcit encore un peu plus là-bas. Les coups pleuvaient mais il ne se laissait pas faire. Il donnait autant qu’il recevait. Un trouble fait. Il ne parvenait à avoir des nouvelles de Nora, cette gamine à laquelle il s’était peut-être un peu trop attaché. Quelques lettres échangées, trop peu au goût d’Isaac. Puis, y avait cette famille qui lui proposait de l’héberger chez lui. De le prendre sous son aile. A croire que jouer dans le social re-dorerait à nouveau leur blason. Il accepta les conditions Isaac, ne supportant plus cette prison. Retrouvant à nouveau son acolyte préféré à l’extérieur, son frère qui était venu le voir chaque semaine. Lui donnant l’envie de lutter.

Année 2000 (~16/19 ans). Il l’avait retrouvée Nora. Nora qui avait changé, Nora qu’il put enfin serrer dans ses bras, qu’il dut voir en cachette pour ne pas que le père de la famille les voit ensemble. Parce qu’elle était de plus en plus belle. Parce qu’ils étaient de plus en plus complices, des regards qui ne trompaient pas. Ils s’étaient embrassés. Parce que c’était une évidence. A se voir en cachette, Isaac se glissant en cachette en dehors de son manoir pour la retrouver dans des endroits improbables. Il n’était jamais tombé amoureux Isaac; son coeur n’ayant pas connu l’amour maternel et paternel, il peinait à reconnaître les signes de l’amour. Dans une nouvelle ère, il tentait d’obtenir des bonnes notes, rattrapant son retard. Choisissait une nouvelle vie en fréquentant les écoles riches, ses mauvaises habitudes prenaient à nouveau le dessus quand il décidait de leur vendre toute substance illicite que l’élite new yorkaise ne connaissait pas. Nora était un échappatoire. Il la respectait Isaac; comme il avait peu respecté d’autres filles. Une histoire qui finit par être dévoilée au grand jour quand le père de famille les surprit. Il se rappelait Isaac des menaces qu’il proliférait à son encontre, la prenant par le bras. Il n’eut plus de nouvelles Isaac. Comme si elle avait disparu. Le père de famille qui lui refusait l’entrée, prétextant qu’elle était simplement partie. Mais il était persuadé qu’il mentait. Menant son enquête, conscient qu’il lui mentait mais il n’avait plus droit à l’erreur Isaac. De porter des accusations sans preuve formelle. C’était un jour où il était presque amené à penser qu’elle s’était réellement enfuie sans lui donner de nouvelle qu’il reçut un courrier. Voir son écriture le chamboula,qu’il dut prendre appui sur la boite aux lettres. Parce que les mots qui suivaient lui transperçait le coeur, sa colère le submergeant. Comme si le diable prit possession de son corps, il prit les clefs de sa voiture, conduit jusqu’à la maison de cet enfoiré, les mains tremblantes. Il ne réfléchissait plus à rien ; il frappa à la porte, son sang se glaçait sur place. Isaac, dont la mâchoire se crispait, les yeux assassins. Parce que ce jour là, il aurait été capable de le tuer. Parce qu’il l’avait touchée à nouveau. Il l’avait violée. Isaac, il savait que Nora, elle était vierge. Nora. Sa Nora. Il s’était jeté sur lui; il n’avait probablement pas dû le voir venir qu’il tomba à la renverse. Il le frappa à terre Isaac, n’écoutait pas Nora, qu’il n’avait pas vue depuis plusieurs semaines, qui lui suppliait d’arrêter. Isaac, il sentait ses phalanges craquées contre son visage, du sang entre ses mains, sa chevalière ripant son visage de fumier. Nora qui tenta de le raisonner et dans un accès de colère, il la repoussa violemment. Il avait tenté de s’excuser Isaac, la rattrapant, mais des policiers qui arrivèrent de nulle part le plaquait au sol et ayant atteint la majorité, il terminait en prison Isaac, les mains ensanglantées; laissant presque pour mort cette raclure. Une nuit au poste, jusqu’à ce que sa famille règle sa caution. Isaac, il dût tempérer cette colère qu’il peinait à contrôler. Parce que sa famille le menaçait de le laisser à la rue, alors qu’il s’apprêtait à rentrer à l’université. Mais il s’en fichait Isaac. Conscient d’avoir perdu la fille qu’il aimait. Parce que ce jour là, Nora, elle avait vu cette face cachée. Il l’avait préservée de sa violence mais Isaac, il avait été démasqué. Son coeur se serrait en la voyant s’effacer au loin. Parce que cette histoire le changea et noircit un peu plus son coeur.

Maintenant. Il errait dans les couloirs de l’entreprise de celui qui lui avait donné la chance de pouvoir mener une vie différente. Il était celui qui donnait des ordres, celui qu’on venait consulter pour des nouvelles stratégies. Un costume parfaitement repassé, sa chevalière qui resplendissait dans la pièce, son regard de connard invétéré qui envahissait la pièce. Il était de ceux qui dirigeaient l’une des plus grandes entreprises. Son arrogance au paroxysme, les coups bas ne l’effrayait pas, il en jubilait presque Isaac. Il n’avait plus de limite. Tant dans sa vie professionnelle que dans sa vie privée. Sa vie privée qui était rythmée par la même déchéance, à toujours se salir les mains. A trainé avec son frère dans de sales combines. Cette même violence qui l’habitait. Ses poings aux constantes fractures. Mais à toujours échapper à la justice.

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

le beau bill i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 974093833

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche, n'hésite surtout pas si tu as la moindre question i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 2352406129

i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 2352406129

AHHHHHHH REGARDE CE QUE J'AI TROUVE i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3823446677

i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 547617587

J'approuve tellement le choix d'avatar ! (La famille Skarsgard est une famille de BG en même temps !)
Bienvenu et bon courage pour ta fiche ! i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1194034422

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Invité

T'es si beau i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3126096625

Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3768101868

bienvenue à toi i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 859726454

STOP AUX FICHES VIDES
je fais comment pour me désennuyer de ma soirée ???
bienvenue par ici, what a face avec bill là
jpp
hâte de lire wsh

Invité

Bienvenue sur le forum ! i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 974093833

Isaac + bill = orgasm!

Excellent choix ! Bienvenue !

mercééé à vous, j'espère que vous allez aimer isaac i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1960719701

i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1626979680

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vos messages me font plaisir i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 974093833

@bella callahan kekiya ? i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1626979680

@marvin bennet ça vient vite promis i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 991668877

demain t'auras matière i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 2570226144

@isaac kolston c'est trop bizarre de devoir t'appeler isaac avec cette tête maintenant, tu resteras toujours asher, c'est pas possible i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1607294666

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@bella callahan i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1607294666

y a tété qui vient de faire la boulette à l'instant i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3179429776

faut un petit temps d'adaptation i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 547617587

qu'est ce que je disais i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3179429776

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toi...........

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j'vais te manger tout cru tu vas rien comprendre i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 1146254469

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Spoiler:

@nora hortega hello bébé i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 2369551186

i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) Giphy

j'compte bien te manger toute crue aussi. i could, so easily, let my heart back inside this burning house (isaac) 3179429776

» frozen inside, without your touch, without your love (isaac)
» you got her heart and my heart (ferblantier)
» burning man- Wyatt
» you want to see the dark inside of me ?
» Don't get to close it's dark inside (ft. Lula)