(berya) capitale de l'amour

Tu ne t'attardes pas sur l'affaire famille, tout simplement parce que tu n'as pas vraiment envie d'évoquer le sujet. Tes parents, tu les aimes et tu serais prêtes à tout faire pour eux, mais ils ont beaucoup trop de principes. Et le fait d'être à des kilomètres de chez toi avec un garçon, c'est tout simplement inconcevable pour eux. Le seul garçon qui peut franchir ta chambre c'est ton ami d'enfance et cela n'a pas été simple au début.Tu le sais que tes parents sont pointilleux sur ça, alors tu leurs as menti pour ce séjour très loin d'eux dans la capitale française. Tu es majeure, mais tu vis toujours sous leur toit donc tu dois de respecter certaines règles. Toi, tu en fais toujours à ta tête. Têtue, tu l'es carrément. Pour le moment, tu n'as pas envie de cogiter à ce que ta famille dira de ta poudre d'escampette lors de ton retour à New York. Là, tu profites simplement de ce moment avec Berlioz et de ton fondant au chocolat que tu dégustes. " Comme tu veux. " Tu lui souris simplement. Un orgasme gustatif, pur et simple. Tu aimes le chocolat, c'est vraiment ton pêché mignon, si tu ne comptes pas le jeune homme devant toi. Parce que tu peux que l'avouer, lui aussi il l'est. Une fois terminé, le serveur vous souhaite une bonne fin de soirée et tu en fais de même enfilant ta petite veste parce qu'il ne doit pas faire chaud dehors maintenant. " C'était parfait, merci beaucoup. " Oui, le repas. Ce moment passée en sa compagnie. Tout était juste parfait. Le sourire aux lèvres, tu viens déposer un baiser sur sa joue. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent. " On pourrait rentrer à pieds jusqu'à l'hôtel, ce n'est pas loin non ? " Tu lances ça une fois dans l'ascenseur. Une ballade nocturne dans les rues de Paris, cela ne peut qu'être appréciable.

Vous sortez de là, prenant l’ascenseur. Tu lui souris alors qu'elle dit vouloir rentrer à pied et tu acquiesces alors que vous sortez de la. Tu passes un bras autour de ses épaules, avançant doucement dans une ville illuminé par tous les éclairages du coin. tu finis par poser tes yeux sur elle avant de lui demander. « tu n'as pas trop froid ? » tu lui souris, tu préfères la garder pres de toi, parce que tu ne veux pas qu'elle s'éloigne et puis vous etes dans une ville ou les touristes sont tout de même assez pris comme victime des pickpocket. Et puis, elle est sublime, tu ne veux pas qu'on vous stoppe pour la draguer alors que tu es là. Tu ne sais même pas si elle parle français d'ailleurs. toi oui, même si ce n'est pas un français parfait, tu peux malgré tout t'en sortir, c'est comme ça que tu as pu faire des réservations aussi rapidement, bien que la plupart parle aussi anglais. tu avances avec elle le long du trottoir, l’hôtel n'est pas bien loin, une petite demi heure à pied, ou peut etre un peu moins. mais ce n'est pas bien loin en tout cas. Tu marches sagemen. il fait frais, mais les températures ne sont pas trop basses malgré la saison. tu reposes les yeux sur elle « on pourrait aller au Louvres demain.. si tu veux.. » tu lui proposes, tu veux juste qu'elle découvre les endroits dont elle reve.

L'ascenseur descend jusqu'en bas de la tour de fer, dont tu sors juste après lui. La nuit est tombée et la ville s'est illuminée. Tu jettes un dernier coup d'oeil à ce symbole de la ville de Paris. Tu auras l'occasion de la revoir et de prendre des photos si tu le souhaites. Et puis, de ta chambre d'hôtel tu pourras l'admirer toute la nuit si l'envie t'y prends. Là, tu veux juste rentrer pour te reposer, le fait d'avoir bien manger tu as un sacré coup de barre. Tu souris alors que son bras enveloppe tes épaules. " Ça va merci. " Malgré ta petite veste légère, ça te réchauffe un peu. Et puis même si tu étais gelés, tu n'es pas du genre à te plaindre. Tu ne dirais rien. Ta tête se pose doucement contre son épaule, continuant de marcher en direction de l'hôtel dans le silence. T'apprécies juste la beauté des rues, le charme de cette ville plongée dans l'obscurité. T'apprécies aussi de partager ça avec Berlioz, d'être dans ses bras. Tu redresses ta tête pour lui répondre. " Le Louvre ? Pour de bon ? " T'affiches un beau sourire sur ton visage, les yeux presque écarquillés. " Ça serait super. " Visiter le musée du Louvre, ça te dit carrément. Tu viens poser de nouveau ta tête contre son épaule, hâtes d'être déjà à demain pour découvrir tous pleins de choses merveilleuses.

tu vérifies qu'elle n'a pas froid, mais ça semble aller. tu souris en la voyant poser sa tete contre ton épaule et tu marches simplement. son enthousiasme pour le musée te ravi et tu acquiesces pour lui faire comprendre que tu es sérieux. pour le reste du chemin, tu ne dis rien, enfin rien de spécial. vous profitez de la ville et des éclairages, tu lui parles de quelques monuments que vous voyez au loin ou que vous croisez. Et puis vous arrivez à l’hôtel. Tu l'as raccompagne a sa chambre, de toute façon, la tienne est juste a coté. tu te stoppe, devant la porte sans pour autant tenter quoi que ce soit de déplacer. tu prends sur toi, même si tu meurs d'envie de l'embrasser, de lui retirer cette magnifique robe et de lui faire l'amour avec la tour Eiffel par la fenêtre. mais t'es sage, tu veux qu'elle profite et non pas qu'elle te fuit pour le reste du séjour après tout. « repose toi bien, je t'attendrais pour qu'on prenne le petit déjeuné ensemble demain matin. » tu lui souris, te penchant pour embrasser simplement sa joue avec délicatesse. tu fais vraiment de gros effort pour ne pas paraître connard, pour ne pas avoir l'air d'un enfoiré. tu voudrais qu'elle se dise que pour une fois, Berlioz Hudson est capable d’être un type bien. même "presque bien" serait déjà pas mal. « si tu as besoin de quoi que ce soit, ma chambre est là.. » que tu lui dis, montrant la chambre à coté de la sienne. t'as fait exprès, parce que tu ne voulais pas qu'elle soit trop loin de toi.

Une soirée parfaite en tout point, tu as encore les images de la vue en haut de la Tour Eiffel. Berlioz en parfait gentlemen qui a mis tout en oeuvre pour que cette première sortie à Paris soit réussie, elle l'a été. Tu apprécie vraiment tous ses efforts qu'il s'est donné, tout ça pour toi. Uniquement toi. Est-ce qu'il l'a déjà fait pour d'autres avant toi ? Tu n'en sais rien et tu ne penses pas du tout à ça en ce moment-là. Tu profites simplement de cette promenade, de ce moment rien qu'à vous deux. Tu l'écoutes, il connaît cette ville presque comme sa poche. Ça se voit que ce n'est pas la première fois qu'il met les pieds dans les rues parisiennes. Tu ne vois pas le temps passer à ses côtés et vous voilà arrivés à l'hôtel. Tu es exténuée, il est un peu tard et demain une grosse journée vous attend. Devant la porte de ta chambre, tu as ton cœur qui bat la chamade dans ta poitrine. Ce sourire qui ne quitte pas tes lèvres, t'es heureuse tout simplement. Dire que tu as hésité à le rejoindre, tu ne regrettes pas d'avoir acceptée. " Passes une bonne nuit et... merci pour ce soir. C'était parfait. " Ses lèvres se posent sur ta joue et tu fermes un cours instant les yeux. Tu lui souris simplement lorsqu'il te dit être là si besoin, avant de disparaître dans ta chambre. Tu restes un petit moment le dos contre la porte, les pensées fusent dans ta tête. Tu enlèves ta veste en la déposant sur un fauteuil, ta chambre est un véritable bazar. Tes vêtements un peu partout, ta trousse à maquillage éparpillée sur le lit. Tu t'apprêtes à défaire ta robe et puis tu te stoppes net, sourire malicieux. En quelques secondes te voilà à frapper à la porte de ton prince charmant. Et là porte s'ouvre, il va sûrement être étonné en te découvrant sur le pas de sa porte. " Tu m'as dis que si j'avais besoin de quoi que ce soit... " Un petit air amusemé sur le visage. C'est ce qu'il t'a dit quelques minutes plutôt. Alors tu te retournes, attrapant ta chevelure brune pour la mettre sur le côté pour lui montrer clairement la fermeture éclair de ta robe. " Tu peux m'aider ? " Tu aurais bien pu le faire toute seule, soyons honnête.

tu es heureux qu'elle est trouvée cette soirée parfaite, t'es content de lui avoir fait plaisir, d'avoir réaliser un de ses rêves sans même le savoir. Après un baiser sur sa joue, tu l'as laisse rentrer dans sa chambre et tu fais la même chose. Une fois la porte refermée, tu retires ta veste et ta chemise, balançant les chaussures dans la pièce. Tu vas aller te rafraîchir et après tu te mettras au lit. et comme tu es tout seul, tu te permettras même de penser a elle pendant que tu fais quelque chose de dégouttant mais de tellement naturel pour un homme. mais mieux vaut pas qu'elle le sache. Quoi que, soit elle serait dégoûté et te prendrait pour un pervers. soit elle serait flatté. mais bon, tu ne prendras pas le risque de te faire démasquer. Alors que tu allais préparer ta douche, tu entends frapper à la porte. tu hausses un sourcil, allant ouvrir et tu es surpris en voyant Cat devant toi, te demandant de l'aide et te montrant la fermeture de sa robe. Tu souris, l'a faisant entrer pour refermer la porte après elle. pas question que quoi que ce soit la voit ainsi, surtout quand tu auras virer cette fermeture. « tu n'arrives pas à la retirer ? pourtant... tu l'as bien mise toute seule, cette jolie robe. » tu l'as taquine, t'as un petit sourire sur tes lèvres qui en dit long. mais toi ça te va, tu fais glisser la fermeture le long de son dos mais tu ne l'as lâche pas pour autant. au contraire, tu te rapproche, collant son corps au tient. tu penches la tête dans son cou, ton souffle caressant sa peau. et tu susurres « et voilà.. c'est fait.. » et tu viens poser tes lèvres dans son cou, juste un baiser, tu te contiens. tu te recules ensuite, reprenant une apparence calme alors que ta seule envie c'est de lui retirer cette robe et de savourer son corps.

Un surprise pour lui de te voir sur le pas de sa porte, il s'attendait surement que tu t'endormes comme un bébé. Tu entres dans sa chambre la porte qui claque derrière vous. " Qui te dis que je l'ai mise toute seule ? " Tu te mets à rire doucement, toi aussi tu sais taquiner et tu te permets de le faire parce qu'il sait très bien que c'est seule que tu l'as enfilé, sans l'aide de personne. Tu aurais pu peut-être demander à une femme de chambre au pire des cas, mais non tu as bien réussi toute seule comme tu aurais très bien pu la retirer toi-même. Tu as l'esprit joueur ce soir, même si le coup de la robe c'est vu et revu cela fait toujours son petit effet. Un frisson qui te traverse, il suffit simplement qu'il te touche pour que ton corps réagissent. Aucun autre homme n'a eu un tel effet sur toi, jamais. Ses lèvres sur ton cou, juste un baiser. Un goût de trop peu, t'en veux plus, mais il se recule. Il ne peut pas voir l'étonnement sur ton visage, ce n'est pas de lui de ne pas profiter de la situation qui s'offre clairement à lui. Tout au long de la soirée il n'a rien tenté avec toi, ni même des sous-entendu déplacés qu'il a l'habitude de faire. Il a même pris un chambre juste pour toi. Est-ce qu'il est vraiment entrain de vouloir changer pour toi ou peut-être qu'il commence à se lasser de toi ? Tu lui fais face après l'avoir remercier de son aide, sourire en coin sur les lèvres. La jolie cubaine n'a pas encore dit son dernier mot, non tu ne lâches pas l'affaire si facilement. Déterminée. Têtue également. Tu laisses glisser ta robe le long de ton corps, mordillant légèrement ta lèvre. Te voilà du haut de tes escarpins en sous-vêtements devant lui, tu réduis la distance entre vous tes bras s'enroulent autours de son cou. " Chaton a encore besoin de toi... " Chuchutant ses mots au creux de son oreille avant de déposer un baiser juste au coin de ses lèvres.

tu n'es pas du genre a rester galant, à ne pas faire de blagues perverses ou même sous entendre que tu la feras crier un peu plus tard. t'es pas du genre a etre distant mais tu fais un effort pour lui montrer que tu peux changer, que tu tentes de changer en tout cas. tu retires la fermeture de sa robe et tu te recules. t'es frustré de ne pas pouvoir la toucher un peu plus, de ne pas sentir son corps contre le tien. elle te manque, mais tu t'es promis de devenir un homme qui peut etre digne d'elle. dont elle n'aura pas honte, tu veux qu'elle comprenne qu'elle est différente de celles avec qui t'as baisé. Tu pensais qu'elle serait reparti, mais elle fait glisser sa robe le long de son corps et la voilà en dessous, escarpins, plus sexy que jamais devant toi. tu ravales ta salive, bordel t'as juste envie de la balancer sur le lit pour lui faire l'amour comme jamais. mais tu restes à ta place, appréciant ce que tu as sous les yeux et évitant de baver comme un porc. elle est sublime, tellement, et elle se rapproche, se collant a toi avant de susurrer qu'elle a encore besoin de toi. tu ne peux pas te retenir plus longtemps, tu attrapes sa nuque entre tes doigts pour amener ses lèvres contre les tiennes et tu l'embrasses. ta main libre se posant sur sa hanche mais glissant jusqu'à sa cuisse pour la soulever, un poids plume, et la forcer à passer ses jambes autour de toi. tu recules tes lèvres, juste quelques millimètres pour parler. « tu m'as manqué » que tu souffles, sincère, avant de reprendre ses lèvres et de venir la plaquer contre la porte de la chambre que tu as refermer. tu dévores ses lèvres, ta main caressant ses fesses alors que l'autre maintient toujours sa tête pour que tu l'embrasses avec fougue. elle a libéré la bête que tu tentais de contenir depuis votre arrivé. tes lèvres qui quitte les siennes, tu l'as soulève bien pour que sa poitrine arrive a ton visage, et tu y plonges la tête, relâchant sa nuque pour venir lui retirer ce tissu qui t'empêche de goûter sa peau.

Cette jolie robe desormais qui gît sur le sol, ton corps collé à son torse. Bien décidée à ne pas quitter cette chambre et il l'a maintenant bien compris. Tes lèvres qui retrouvent les siennes, après beaucoup trop de temps passé sans les avoir savourées. Tes jambes qui se referment autours de sa taille lorsqu'il te soulève. Lui aussi t'as manqué, terriblement. Ses baisers auxquels tu es devenue accro, ses caresses qui font frissonner ton corps tout entier. En manque de cette homme pour qui tu éprouves de réels sentiments amoureux. Tu ne lui as jamais dit et tu n'es pas prête à le lui avouer. Tu ne dévoiles pas tes sentiments facilement, cette soirée est peut-être parfaite. Lui l'est avec toi, ce n'est pas pour autant que tu vas t'ouvrir à lui. Tu apprécies sincèrement tous ses efforts, mais tu n'en oublies pas sa réputation à New York. Peut-être qu'il est gentleman ici à Paris et que de retour dans la Grosse Pomme tout sera différent. Chasse le naturel et il revient au galop, paraît-il ? Une part de toi reste méfiante tout de même, mais tu ne peux pas nier que toutes ses attentions te fond fondre littéralement. Ça te touche sincèrement. Le dos plaqué contre le bois froid de la porte, tu savoures intensément ce baiser qui te coupe le souffle. Une main glisse dans ses cheveux alors que l'autre tient fermement sa nuque. Vos lèvres se décollent, tu respires enfin. Et c'est ta poitrine qu'il vient rapidement chercher, c'est à lui. Tout ton corps lui appartient, c'est ce que tu désires. Lui appartenir ce soir et les jours à venir.