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Hudson Reyes ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 56 inscrit le : 18/11/2018 age : thirty five years old statut civil : divorced, father of a teenager job/métier : company owner, 'R&C security' relationship relationship:
| Sujet: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 17:06 | |
| Hudson Reyes I am good at walking away. Rejection teaches you how to reject. © winterson/the myth of atlas and heracles
never trust or love a wild thing. âge ~ trente cinq écarts, estocades essuyées d'un revers de main, risette carnassière ensanglantée jusqu'aux gencives; des plaies béantes qu'on colmate à l'aide d'un mastic de faible adhésion - pas du genre à se compter sur les phalanges d'une seule main. les jours s'égrainent, inlassablement, le temps se planque dans chaque molaire pour y foutre un peu plus de plomb, gangrené jusqu'à la cervelle. c'est alors qu'on évoque un ersatz de maturité. date et lieu de naissance ~ las cruces (nouveau mexique), bordée par el rio grande; un vingt sept juin, sous un cagnard-chevrotine dont l'épaisse peau du companero reste gorgée malgré les pluies diluviennes abattues jusque là, le melting-pot passé à la machine, délavé et désuet. nationalité ~ hudson est américain, dans ce que la définition a de plus stricte (elle rappelle des terres pillées de leur richesse, des peuples opprimés lassés de rêver dans le concret; le vol comme attitude légitimée). mexicain par son père, irlandais et allemand par sa mère, son histoire se raconte en délits de faciès et en débats animés. pourtant, pour lui, ces délires ploutocratiques se rependent sans le toucher. métier ~ au lendemain de l'attaque des tours jumelles, lycéen patriotique et con, il s'est enrôlé. Il était influençable et doté de cette détermination larmoyante que seul l'ignare protège chichement. Il fit ses classes aussi promptement qu'ils furent déployés - son unité et lui - dans les montagnes arides et escarpées d’Afghanistan. Et il a tenu bon, contre toute attente, les sifflements de balles et les rafales ne l'ont pas plombé, tout au long de son premier contrat. Son expérience fut aussi expéditive qu'une commande en fast food ; et du jour au lendemain, il s'est retrouvé à New York, flanqué d'une prothèse à la jambe gauche. Son retour aux sources fut ponctué par le dégoût, désabusé jusqu'à la plus petite unité structurale, il a enchaîné les petits boulots, s'est forgé un savoir à partir d'un alliage de débrouille et d'obstination. Il y a deux ans, un ancien frère d'arme et lui ont décidé de se lancer dans la protection rapprochée des biens et des personnes, fondant R&C security. Un eldorado aux débuts chaotiques, qui n'épargna ni ses nerfs, ni son ego - et qui semble avoir finalement trouvé sa vitesse de croisière. statut civil ~ Hudson embrassa le stéréotype à pleine bouche (et à la française) épousant ,dans la foulée de son enrôlement, son amour de jeunesse ( il faisait parti de l'équipe de lutte, était éperdument amoureux de sa cheerleader en jupette). Dents de scie puis creux de la vague, à mi chemin entre les deux, l'amour succomba aux micro-doses progressives de mort-aux-rats quotidiennes. Il n'évoquera pas la sombre période, peu prolixe et désireux de s'épancher en palabres sentimentalistes. Il est divorcé, confirmé et anticonformiste - dégueulant proprement sur toute forme d'institution où il serait question de se couper les burnes pour les assortir aux couverts flanquant le plateau en argent. Actuellement, il se plait à dire qu'il use et abuse du célibat, comme un adulte éduqué (sexe consensuel et ponctuel, n'impliquant aucune démonstration de talent d'drama queen, finito les considérations complexes). Des cendres de sa relation désastreuse est née Ava, aujourd'hui âgée de douze ans, prompte à lui filer des migraines carabinées - il l'accueille un weekend sur deux, subit ses caprices, bureau des réclamations fantasque auxquelles il ne pige jamais rien ( il apprend à chaque instant et ne manque jamais une occasion de se taire). statut monétaire ~ il a connu les fins de mois difficiles - associées à une surconsommation de nouilles instantanées -. Si désormais son entreprise est loin de concurrencer les pontes du milieu, elle lui assure un train de vie confortable. c'est un mec simple, avec des désirs et des objectifs, des goûts et des habitudes qui le sont tous autant. groupe ~ really don't care
all night long slow down the song
9/11(2001) Rétrospectivement, il sait qu’il a réagi à chaud ; s’il le pouvait, il retournerait probablement flanquer une raclée au Hudson Reyes de dix-huit ans, petit mecton gonflé de fierté, au sens de l’honneur amplifié par un putride effet de masse, voulant jouer aux hommes. Il lancerait un glaviot effronté, lui rirait à la gueule et agiterait sous son regard candide l’ensemble fait de silicone et de carbone lui servant de jambe. Il lui demanderait : c’est c’que tu veux, fiston ? Il refuserait, entièrement, le deuil sordide, la colère lancinante - demanderait plus d'explications. Il leur tordrait le cou , sans déranger la moindre molécule d’air ; garant d’une conviction encore plus forte : celle de faire fausse route. En deux mille un, pourtant, les choses étaient foncièrement différentes : un contexte planté négligemment, coupé au couteau à beurre – caractérisé par la peur, celle qui tord les tripes et adjure des remontées le long du tube digestif, celle qui pousse au dérapage. Le brun se souvient aujourd'hui des vagues d’anxiété polarisant la moindre fibre nerveuse jusqu'aux dendrites, des ongles rongés jusqu’à la cuticule, derrière des affections indolentes assis avec ses camarades dans la bibliothèque, charpente paumée en dessous d’un énorme sweat à capuche. Le plus dur, ça n’était pas de savoir que le monde ne serait plus jamais le même – à cet instant là, ce genre de certitude ne trouva aucun écho en lui, qu'en avait-il à cogner ? - c’était surtout de créer tout un scénario où son père, son modèle, son héros, ne travaillait pas au cinquième étage d'un immeuble, situé au 285 fulton street. Tout s’est déroulé rapidement, c’était le premier cours de la journée – ça allait aussi être le dernier (pour une date qui ferait, plus tard, l’objet de commémorations surjouées). Un clignement de paupières risible, une respiration déraillée et la perte irréversible, déglutie avec difficulté. C'est un maelstrom de sentiments ,pour la plupart grandement contradictoire, qui les invita - Hudson et ses potes- à considérer les représailles gouvernementales comme justifiées et la guerre d'un regard beaucoup trop avide. Un soir, ils se réunissaient tous près du fleuve, profitant des derniers instants d'une jeunesse délurée, le lendemain, ils se retrouvaient au sein d'un convoi encerclé par des talibans. A cette époque là, la notion du temps fut si distordue, c'était comme si la théorie des cordes avait décidé de lui agiter un énorme majeur métaphorique sous le nez. Trois de ses amis perdirent la vie, au cours des deux années qui suivirent l'attaque, lui fut moins chanceux, fatalité lui fit perdre sa jambe - du pied gauche au genou -, à l'aube de ses vingt deux ans. Le ciel sur lequel il porta les yeux cette nuit là ressemblait à s'y méprendre à celui qu'il apercevait depuis son carré de gazon habituel situé en plein central park, celui qu'ils squattaient tous. Hudson aurait pu crever sous ce ciel là et durant plusieurs mois, il n'était même pas surpris de l'avoir souhaité, allongé dans son lit d’hôpital, à plusieurs reprises au cours de sa rééducation, de retour à New York sous l'insistance des regards compatissants. Une première perte, suivie d'une seconde et ça n'était probablement pas faire preuve de pessimisme en guettant la troisième perte car le vieil adage disait bien "jamais deux sans trois" et trois ans plus tard, l'aigreur d'un quotidien harassant fut fatal pour son couple qui toutes ces années avait, allez donc savoir comment, réussi à éviter les embûches. Quelque part, leur couple s'était chopé une entorse et avant même qu'ils ne s'en soient rendus compte, ils s'étaient étalés de tout leur long. Lorsque vint le moment de dresser un constat de tout ce qu'il avait accompli dans sa vie, seule Ava, sa chair et son sang, alors âgée de deux ans, lui permit de patienter et c'est aussi elle qui le tint à l'écart de tout ripage incontrôlé.
(...) Ava.(2016) - Papa, lâche-ça !Joignant le geste à la parole, furtive tel un ninja surentraîné, l'adolescente attrapa le muffin dans lequel Hudson était sur le point de prendre un croc, et y planta aussi vite les dents. Contrarié, il posa un regard ahuri sur sa progéniture qui osait, putain, qu'est ce que ça grandissait vite ces bestioles, se la jouer maternaliste avec lui. - Rends-moi ça, Ava, impérativement- cracha-t-il, l’adverbe était de trop car le reste fut lâchement balancé à la poubelle, sans grande considération pour l’avertissement pourtant palpable dans chaque consonne formulée. Ça ne te dirait rien , j’sais pas, une interdiction de sortir de tout le weekend ? puisqu’elle se montrait si appliquée à lui briser tout amusement avec ses nouveaux délires vegans hygiéno-diététiques inculqués par Al’, le nouveau joujou de sa mère, à la poignée de main particulièrement molle (ces bureaucrates, tout juste bons à scribouiller sur du papelard à longueur de journée).- Ce serait monstrueux de ta part- lança-t-elle, voix vrillant dans les aiguës, cantatrice s’en allant de son meilleur atout emphatique, prête à lui exploser les tympans. Monstrueux ? Pourquoi la puberté s'accompagnait-elle toujours d'un vocabulaire péjoratif, imagé, profondément inapproprié pour décrire des actions à visée protectrice ? Si elle ne comprenait pas qu'il faisait tout ça pour son bien, tant pis. Elle allait tôt ou tard finir par se rendre compte que tout ce qu’il faisait, toutes les décisions qu’il prenait et qui l’énervaient si bien (elle ne manquait aucune occasion de le montrer), pavaient un chemin sécurisant sur lequel elle allait un jour être heureuse de pouvoir poser les ripatons adulte. Hudson soupira, les jours se défaisaient et , plus ils s'en allaient, plus elle ressemblait à sa mère, Natalie. Fut un temps où il éprouvait encore une tendresse envers son ex épouse mais ses récents choix d’éducation le laissaient perplexe – et demandeur de comptes. Une partie de lui, celle qu’il taisait à coup de remontrances, d’indifférence rabroueuse, voulaient que tout redevienne comme avant. Retourner prestement à l'époque pratiquement bénie où sa fille venait loger son nez dans le creux de son cou. Il grimaça, la perspective d'avoir à dire au revoir à toutes ces petites attentions mina profondément son moral; c'était bien la seule fillette capable d'en faire autant.- Ce qui est monstrueux, c'est de gâcher de la nourriture. – fit-t-il, tentant ( et ce vainement) de récupérer son muffin dans la poubelle, l’air grave. Après avoir passé des mois dans une enclave embourbée, perdue quelque part entre Bagrâm et Ghazni, son système digestif était à l’épreuve des plus virulentes parasitoses. - Dis, pa', je peux toujours aller chez Carly, elle organise une soirée... La construction de sa phrase ressemblait vaguement à celle d'une question, toutefois, le ton employé se prêtait davantage à celui d'un constat ; avait-elle hérité de son culot ? Si oui, il aurait été plus approprié de rallonger sa punition, de mettre en pratique les menaces, pour étouffer toute rébellion dans l'oeuf. Avait-il seulement l'coeur à ça ?- Je t'en ai déjà parlé et tu as dit oui. - Le oui était au conditionnel. D'ailleurs, vu comment tu te comportes, je ne suis pas certain qu'il tienne toujours. Et puis, ce serait particulièrement difficile d'aller chez Carly faire la fête en étant punie.Le muffin se retrouva aussitôt, par un jeu de mains agile, depuis la poubelle à la paume de sa main. Il y porta un regard intéressé, qu'il reporta sur sa môme; pourquoi n'y avait-il pas de réel manuel ?- C'est un début, laisse-moi y réfléchir. Il avait fini par dire non, contrarié d'avoir à négocier avec une gamine de dix ans.
(...) R&C security(2017)
C’était une opportunité en or qui se présentait, balancée par une intervention providentielle, entre ses paumes après tant d’années de galère ; un célèbre groupe ayant la mainmise sur quatre vingt pourcent du marché télévisuel – dominant notamment le secteur de la communication (des agences de presse disséminées aux quatre coins du pays) , une véritable créature audio-visuelle tentaculaire, avait choisi « R&C security » afin de solidifier ses rangs, affectant les employés de Hudson – une bonne centaine d’ex marins – à la surveillance de ses principales succursales distribuées à travers New York . C’est dans une vieille gargote située dans le brooklyn infesté d’hipsters qu’ils avaient décidé de fêter la nouvelle, attablés, partageant un repas chargé, leurs bides imbibés de bière et le sourire aux lèvres, ils étaient bruyants, satisfaits, garants d’un espoir qui avait en de nombreuses occasions menacé de les déserter. Et, peut-être auraient-ils abandonné si ce contrat n'avait pas été signé. Hudson et Samuel Corky, son associé, avait fait partis de la même unité et tous deux avaient survécu à la mission qui leur avait été confiée (au cours de laquelle Reyes avait été blessé). - On est loin de Zabul. Oui, ils étaient loin du sentiment de paranoïa, des bruits suspects. Mais, lorsque leurs regards se croisèrent, quelques secondes plus tard, ils comprirent qu'aucune signature de contrat, qu'aucune somme d'argent n'allaient effacer ce qu'ils avaient vécu, à plusieurs milliers de kilomètres de ce restaurant bondé de monde, de leurs maisons respectives, ils avaient dû dire adieux à plusieurs pans d'eux-même, qu'ils ne retrouveraient jamais. Qu'ils l'aient voulu avec ardeur ou non.
(...) Grandbitch (2018) Dès le départ, Hudson avait flairé l’apocryphe ; trop de sourires ravageurs, flanqués de regards vides – pourtant, il aurait tout donné pour se perdre dans ces billes sombres là. Une attitude savamment travaillée, lustrée comme l’image dépourvue d’imperfections apparentes; elle lui avait donné l’impression de côtoyer une de ces starlettes lisses photoshopées en temps réel. Et, sans même prendre conscience de sa présence, c’est de l’alcool à brûler qu’elle avait jeté sur lui à travers le rétroviseur, alors qu’elle s’était installée sur la banquette arrière de sa berline – la grosse bagnole allemande qui lui servait de voiture de fonction et dont il détestait la conduite. Balançant une commande du bout des lèvres, le regard accroché au téléphone cellulaire dernier cri, elle semblait absorbée par l’écriture d’un roman. - Pardon ?! Hudson était garé à quelques mètres de l’emplacement habituellement réservé à son véhicule, patientant, que le voiturier gère l’erreur commise. - Croisement entre la cinquième et la quarante sixième, fit-elle à nouveau, levant le nez de ses écrits pour croiser le regard interloqué de son interlocuteur. La méprise le fit sourire et , il ne mit pas bien longtemps à déboîter, s’engageant dans la marée de véhicules. Prêt à lui rendre service alors qu’il ne la connaissait ni d’Eve, ni d’Adam et qu’il aurait été plus susceptible de la rembarrer, dans d’autres circonstances ( à un moment où l’alignement des planètes n’aurait pas été en sa faveur). Bien évidemment, elle s’était rendue compte du terrible malentendu, alors que la BMW serie 4 peinait à s’extirper des embouteillages. - Vous n’êtes pas Rajiv, le chauffeur uber – lanca-t-elle, agitant à quelques centimètres de sa joue, son i-phone, les traits tirés par un genre d’horreur qu’il n’avait jamais croisé (et qu’il identifierait plus tard comme une rare forme de mépris). Alors, que pensait-elle ? Qu’il allait la séquestrer dans un endroit sordide et demander rançon ? - Du calme, vous êtes montée dans une voiture à plusieurs centaines de milliers de dollars et vous ne vous êtes pas dit qu’il y avait anguille sous roche ? Depuis quand un simple chauffeur uber se balade dans ce type de caisse ? Je suis quand même sympa de vous conduire à l’adresse indiquée, malgré vos grands airs. Elle ne s’était même pas embêtée des formules de politesse habituelles. Elle s’était tue, traits tirés, posture défensive, tous ses muscles lui semblèrent tendus – ce qui le fit, bien entendu, sourire. A l’angle de la cinquième et de la quarante sixième, Cendrillon avait mis les voiles, oubliant sur le cuir du siège son précieux téléphone cellulaire. Ce modeste bidule leur offrit une occasion de se revoir – la seconde, quant à elle, leur fut offerte par R&C security, responsable de la sécurité de l’immeuble où la pétasse travaillait. Jusqu'à ce que pétasse se transforme, par un sale ballet hormonal, en plan cul régulier, un parmi d'autres.
cause we're ready for the fame.
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pseudo/prénom: east rancho. âge: twenty-ish. pays: gauloise. comment avez-vous trouvé le forum: bazzart. avatar: carlos condit. avis: il vend du rêve autre: idk Recenser son avatar: - Code:
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[b]CARLOS CONDIT[/b] - HUDSON REYES
Dernière édition par Hudson Reyes le Lun 19 Nov - 10:57, édité 43 fois |
| | | Lula Martins LET BEAUTY COME OUT OF ASHES
messages : 2650 inscrit le : 31/08/2018 age : tout juste vingt-cinq pétales de roses déjà trop fanées sous l'influence de l'alcool et de la drogue. statut civil : en couple, amoureuse de ton meilleur ami après avoir passé un long moment sans être dans ses bras. job/métier : mannequin ainsi qu'un court début en tant qu'actrice dans un film mais derrière tout ça, nouvellement sortie de son centre de désintoxication. relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 17:15 | |
| il est mignon bienvenue parmi nous mon beau |
| | | Lena Andersson ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 327 inscrit le : 07/11/2018 age : vingt-cinq ans, âge qui te colle à la peau, trentaine se rapproche un peu trop près. statut civil : célibataire, bien que ton sauveur hante tes pensées, cet homme dont tu ne connais rien et à lequel tu as rendu visite de nombreuses fois, en prison. job/métier : héritière au trône de suède mais propriétaire d'une boutique de fleurs depuis quelques années déjà, un passe-temps que tu possèdes et ce depuis ton arrivée à new york. relationship relationship:
| | | | Christian Miller ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 566 inscrit le : 27/10/2018 age : trente cinq ans. statut civil : une femme dans le coma, une escort à ton bras, plutôt compliqué. job/métier : acteur connu médiatiquement. relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 17:41 | |
| bienvenue à toi |
| | | Hudson Reyes ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 56 inscrit le : 18/11/2018 age : thirty five years old statut civil : divorced, father of a teenager job/métier : company owner, 'R&C security' relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 18:17 | |
| lola, lena; merci, mesdames (ravie que l'avatar ne rebute pas) christian, thanks. |
| | | Lux Gunn sweet delusion
messages : 157 inscrit le : 16/11/2018 age : vingt-et-un vices et artifices dorés dans le fond de la rétine. statut civil : valse solitaire d'un cœur de pierre aux amours indécents. job/métier : hôtesse d'un fight club. ils encaissent les coups autant qu'les gunn encaissent les billets. serveuse au hard rock café. couverture, amen à la banalité. princesse dans la foule. relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 18:21 | |
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| | | Nora Hortega it's like screaming. but no one can hear.
messages : 1105 inscrit le : 02/11/2018 age : twenty-three statut civil : je suis encore là, avec toi. je ne suis nulle part d’autre qu’avec toi. job/métier : waitress relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Dim 18 Nov - 20:06 | |
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| | | Artyom Kolston bird of prey
messages : 219 inscrit le : 03/11/2018 age : 33 ans statut civil : hanté par l'âpreté de bouffées de fumées cendreuses et des embruns solaires job/métier : ex-militaire, détective privé relationship relationship:
| | | | Nyx Vasilios ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 17 inscrit le : 18/11/2018 age : 28 y.o statut civil : no string attached job/métier : bras droit du réseau de mafia Vasilios
| Sujet: Re: (eleven minutes) Lun 19 Nov - 3:15 | |
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| | | Hudson Reyes ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 56 inscrit le : 18/11/2018 age : thirty five years old statut civil : divorced, father of a teenager job/métier : company owner, 'R&C security' relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Lun 19 Nov - 8:26 | |
| lux, ces mots. apparemment, si, très possessif et buté. nora, quand tu veux. merci. artyom, oh, la douceur, la mignonnerie. nyx, personne ne touche à un cheveu de sa princesse par contre, ce sera avec grand plaisir pour le lien le bel accueil |
| | | Lula Martins LET BEAUTY COME OUT OF ASHES
messages : 2650 inscrit le : 31/08/2018 age : tout juste vingt-cinq pétales de roses déjà trop fanées sous l'influence de l'alcool et de la drogue. statut civil : en couple, amoureuse de ton meilleur ami après avoir passé un long moment sans être dans ses bras. job/métier : mannequin ainsi qu'un court début en tant qu'actrice dans un film mais derrière tout ça, nouvellement sortie de son centre de désintoxication. relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Lun 19 Nov - 11:03 | |
| tout est bon pour moi bon jeu parmi nous, j'adore vraiment ta plume n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin |
| | | Jazz Asworth ✻ REALLY DON'T CARE
messages : 371 inscrit le : 23/09/2018 age : trente et un ans, le temps passe mais elle ne s'y attarde pas vraiment, vieillir fait parti de la vie. statut civil : veuve depuis deux ans, elle a perdu l'amour de sa vie dans un accident de voiture. Elle ne croit plus vraiment à l'amour et tout ce qui va avec... job/métier : chef cuisinier mais escort girl la nuit pour payer les crédits et les factures qu'elle accumule depuis deux ans. relationship relationship:
| Sujet: Re: (eleven minutes) Mar 20 Nov - 14:15 | |
| bienvenueeee sur le forum |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: (eleven minutes) | |
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| | | | (eleven minutes) | |
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