— blood lust tonight

nyx vasilios
under the spell, tangled in her ecstasy
© slash/bad rain

never trust or love a wild thing.

âge ~ Elle a détaché sa vingt-huitième pétale de rose, un 13 août, un soir d’été. Un instant crépusculaire où le temps semblait s’éterniser plus que jamais, jouissant de la grandeur que suscitait son rythme sur tout. date et lieu de naissance ~ Elle est née dans les Cyclades, île détenue par la famille Vasilios. Un littoral où il fait bon vivre, car la terre rencontre la mer. nationalité ~ De par son patrimoine génétique grecque avec un soupçon de Sicile, Nyx descend d'une illustre famille dont le nom glace le sang. métier ~ Bras droit d'une organisation mafieuse, la famille Vasilios règne dans le monde souterrain de la pègre et la contrebande. statut civil ~ Attention chien méchant, défense d'entrer. Il faut s'armer de courage pour dompter la bête, car lorsqu'elle mord, elle ne lâche pas prise. Bisexuelle, elle ne fait aucune discrimination. Elle caresse délicatement le corps des hommes et des femmes sans faire aucune distinction. statut monétaire ~ L'argent s'amasse dans votre coffre fort par millions. Entre poignets de mains serrées, promesses de deal et gage de garantie, c'est une affaire de famille qui dure depuis des décennies. groupe ~ really don't care.

all night long slow down the song

(i killed you, i'm not gonna crack)

Autumn Tale — C’est un conte qui se déroule en Automne ; où les feuilles flétrissent et déchoient des arbres, chutant au sol dans un tourbillon de couleurs chaudes. Les feuilles jaunies par la saison en déclin et à la veille de leur cycle, elles volent au gré du vent avant de s’écraser paisiblement sur l'océan. Puis se relever dans les airs par une brise aussi forte soit-elle, engendré par le passage en trombe d’une vague. Même au fin fond de l’eau, au bord de la noyade, elle l'entendait. Elle l'entendait ce souffle frais et humide se mélanger à la roche. Elle sentait cette odeur de verdure et de terre, défiant l’écume et l’algue ondulantes. Elle pouvait aisément discerner les effluves majestueux des roches détruites, parmi l’arôme délicat des arbres. Lorsqu'elle ne voulait faire qu’une avec elle, elle la martelait, creusait pour ouvrir ses entrailles et s’allonger entres elles. Se perdre dans les cavités et les craquelures de la glèbe, plonger dans son berceau naturel qu'elle fixe encore aujourd'hui, comme éternelle demeure.

Slap that Bitch — I killed you, I'm not gonna crack. I like it, I'm not gonna crack ; La voix rocailleuse du chanteur rythme le tapotement de son doigt sur le bureau en chêne massif. Musique rock rétro comme elle aime, crépitement authentique du vinyl qui donne un cachet d'ancienneté à ce groupe aussi vieux que le monde. Jambes croisée par-dessus sa cuisse, son pied se balance à chaque changement de tempo pour marquer la mélodie alors qu'elle semble plongée dans une transe après avoir tiré une latte sur son joint. Tout semble lointain pour elle. Le bruit environnant, le bruit des basses qui font vibrer son corps à mesure qu’il se couvre d’une seconde peau, la chair de poule. Elle frissonne Nyx, elle frissonne. « Nyx Vasilios, cela doit être ridiculement important pour que tu empestes mon bureau avec ce bâton de cancer ». Elle soupire. Elle pourrait le tuer pour ce qu'il vient de faire, son interruption à la masturbation mentale. Sa chevelure noire bouge telle une couronne asservie à sa Reine alors qu'elle s'extirpe de son fauteuil. Sa lèvre supérieure frémit et se retrousse alors qu'elle s’agace pour son culot légendaire : celui de lui faire prendre son temps en la forçant à venir réclamer paiement. « Blablabla. J'ai pas ton temps pour bavarder, sors le fric que tu nous dois qu'on en finisse ». La silhouette de Nyx ondule à mesure que ses talons martèlent le sol, dangereuse sirène, responsable de nombreux naufrages. Elle est cette jolie poupée à la tunique légèrement éventée laissant apparaître un début de décolleté discret. Souriante, sûre d’elle, de sa vie, elle se colle à cet homme qu’elle emprisonne contre le mur, sans peur d’un futur immédiat ou lointain. « Je n'ai pas encore rassemblé la somme en totalité, si tu me laisse encore une semaine je ... » ; L'homme s'interrompt lorsqu'il sent le canon de l'arme contre sa mandibule. Une sueur froide l'envahit, tétanisé, alors que les dextres de la brune descendent le long de son visage. Elle touche, Nyx Vasilios, elle effleure dans une caresse attendrissante la peau granuleuse d'une barbe mal rasée de trois jours. Le brun sombre de ses iris se pose sur lui avant qu'elle ne lèche son visage. « Oh mon beau désastre, tu connais la règle ». Elle arbore un visage stoïque sous l'air ahuri de l'homme qui fait de jeune parrain pour son gang fraîchement arrivé sur le marché, tandis qu'il tente de négocier avec elle. « Attends, je vous donnerai 10% en plus des intérêts, on peut s'arr ... ». Bing ! Bruit d'un détente silencieuse qui ôte la vie à ce client qui payera les Vasilios grâce à sa mort, merci à son assurance vie. Dans un claquement de mains, elle fait appel à ses hommes de mains qui gardaient la porte, afin qu'il puisse faire le ménage. « Dehors avec les ordures ». Elle laisse glisser le corps inerte qui s'écrase lourdement au sol, avant d'essuyer les traces de poudres en glissant sans respect le canon dans sa bouche à l'image d'une vulgaire gâterie. Pendant que ses gorilles s'activent pour effacer toute trace, avant de partir, Nyx gribouille sur un bout de papier le message suivant : Give your masturbator dudes my regards.

Poisoned Beauty — Les cheveux fluctuant dans le courant d'air new-yorkais, elle ne se retourne pas Nyx, mais eux se retournent. Oui eux, les Gens. Ceux qui interrompent leur marche, la toisent en se tordant le cou pour suivre du regard sa démarche gracile. Il était dit qu’un jour, elle avait fait se renverser un homme au croisement d’un carrefour, alors qu’il la dévisageait sans aucune gêne. Mais le karma avait su le punir de son indécence, il s’était écrasé contre une benne à ordures. Un sourire satisfait avait étiré les lèvres de la tatouée alors qu'elle avait vu le jeune homme tout penaud, crasseux de la tête aux pieds. Nyx, elle est différente, elle étonne, tu choque souvent, elle crée les chuchotements et nombreux commérages sur son passage. Car elle est ce bonhomme dans un corps de femme, une gonzesse qui est née dans la violence et la perversion. Celle qui prend la vie au jour le jour, et qui ne se soucis que très peu de la tournure que peut prendre cette dernière. Ayant toujours préférée le risque à la sûreté : elle a toujours aimé explorer l’inconnu, découvrir de nouvelles choses, tenter de nouvelles expériences. Parce que Nyx, elle a toujours aimé se sentir libre. Libre de ses actes, de ses choix, de ses décisions.

Sarcastic Venom — Un flash blanc, le silence. Amas de ténèbres dans lesquels elle craint de rencontrer ses démons, lugubre témoins de sa simple humanité, de ses crimes. Peur lancinante, hurlements accablants, râles d’agonie, éclaboussures sanguines sur les roses blanches et blâmes mortuaires. Sa respiration se coupe, ses muscles se crispent. Le matelas craque sous le poids d'un corps allongé à ses côtés, une caresse sur son visage, une voix qui l’appelle : « Nyx ... ». Un sursaut, une sueur froide qui inonde son front pâle, elle est essoufflée. Le souffle du vent se fait sentir à travers l’entrebâillement de la fenêtre, un bruissement de draps voluptueux, et un rayon de lumière perce les rideaux et inonde sa silhouette masculine. Et comme explosent les premiers rayons du soleil sur le mur blanc, sa silhouette se teint de rose et d’or. Les mains abandonnées dans le désordre soyeux de ses draps, elle ne peut s’empêcher de contempler la marche inexorable du jour. C’est là sans conteste un magnifique chef d’œuvre, dont elle est en train de se repaître, l’espace de quelques instants, avant d’entendre le rire d'un jeune homme —sûrement sa prise de la veille— qui interrompt sa contemplation du dehors pour mieux la ramener à la surface. « Tu oses t'endormir après l'amour ? » Ses prunelles caramel suivent et scrutent de manière sceptique la silhouette du jeune homme qui semble examiner son état d’éveil. Eh merde, elle ne se souvient pas de son prénom. « Non. J’ai juste l’impression d’avoir fait un rêve super long ». Elle gémit doucement tout en se passant une main sur son front, comme pour chasser cette migraine naissante. « Tiens, c’était quoi déjà ? Je ne m’en souviens plus … ». Bien qu'il fasse jour, elle ne parvient pas à distinguer quoi que ce soit. C'est comme si l'obscurité accompagne continuellement ce lieu. Perdition. État second qui succède –indépendamment de sa volonté– la profonde réflexion dans laquelle elle est plongée depuis quelques instants. Un courant d’air vient soulever ses cheveux ondulés qui tombent sur ses épaules. « Hey, pourquoi tu pleures ? » Surprise, elle écarquille les yeux alors qu'elle sent un torrent de larmes naissant au creux de ses paupières avant de ruisseler le long de ses joues, puis s’écraser sur la paume de sa main. Elle ne saurait expliquer pourquoi, mais ce sentiment ne la quitte pas. Ce pressentiment inexplicable, inconnu mais pourtant si légitime lui ronge l’estomac alors qu'elle en décortique minutieusement la signification de son existence. Cette certitude que le poids de la vie ne cessera jamais d’être pesant. « Bon, casses-toi maintenant, je ne sais même pas ce qu'tu fous encore là ». Elle ne fait pas dans le romantisme et encore moins dans la délicatesse. Femme de la famille Vasilios, élevée sur leur île privative, le développement de sa personnalité n'a pu se faire que dans la violence. Et elle ne s'est pas arrangée en mieux, lorsqu'elle est arrivée à New York aux côtés de son frère aîné Érèbe. A l’image de son tempérament impétueux, sa langue vibre sous une répartie assassine. Elle a vu des choses horribles, elle a entendu des choses horribles et c'est sans aucun scrupule qu'elle reproduit le même schéma.

Beautiful Disaster — Nyx, elle est comme une ombre à qui on n'ose pas demander la route à prendre. Tout en elle transpire le désastre ambulant, depuis la couronne de sa chevelure jusqu'à l’extrémité de ses doigts. Tout en elle dégage cette dangerosité qui impose un respect forcé, un respect qui lui colle quotidiennement à la peau. Et pourtant, elle aime qu’on interagisse avec elle au-delà de son statut de mafieuse, qu'on la remette à sa place lorsque la circonstance l’exige, qu'on la surpasse, qu'on lui résiste. Personne ne semble avoir le courage ou le potentiel de lui tenir tête, à l’exception de son frère aîné. Si bien qu'elle ne cesse de se tester, de repousser les limites de son corps à son paroxysme. Elle ne désire que du défi, un soupçon d’adrénaline pour exciter son euphorie. Dans cette recherche de sensation forte, elle dompte ton corps en prenant quotidiennement divers cocktails toxiques pour surpasser l’insurmontable : son potentiel mortel.

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

tu m'fais déjà peur mais t'es belle.

— blood lust tonight TepidDampBumblebee-max-1mb

Bienvenue babe — blood lust tonight 430782802

~~On fait de l'inceste ?~~ — blood lust tonight 3895158862

(re) bienvenue sur le forum — blood lust tonight 859726454

re bienvenue parmi nous ma belle — blood lust tonight 974093833

bonne chance pour ta fiche et n'hésite surtout pas si tu as la moindre question — blood lust tonight 2352406129

rebienvenue à toi — blood lust tonight Herz

on dit merci tatiiiiiiiii pour les super idées — blood lust tonight 3179429776

re bienvenue avec cette beauté — blood lust tonight 70295360

@timeo kostas — laisses toi faire, je vais t'apprendre la vie petite créature
@érèbe vasilios — pourquoi tu es mon big bro ? on va faire de grandes choses, moi je dis
@jazz asworth & @christian miller — merciiii
@lula martins — merci ma belle, je pose mes valises ici, vous êtes mal barré
@nora hortega — jpp de toi et oui merciiii tati

@nyx vasilios tant mieux si tu poses tes valises ici, on est bien — blood lust tonight 82367690

tout est bon pour moi — blood lust tonight 974093833

bon jeu parmi nous et n'oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin — blood lust tonight 2352406129

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