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 an outlaw on the run never deserved any help.

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MessageSujet: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyJeu 15 Nov - 10:40

blair arsenault
Looks like they done found me, God rest my soul.
© levistocke/thestand


never trust or love a wild thing.
âge ~ T’as vu ta vie défilée devant toi comme une mauvaise parade. La première plateforme n’était que bonheur et simplicité jusqu’à ce que la confusion et l’angoisse prenne place. T’imaginais pas que le troisième camion transportait autant de violence et d’amertume. Mais tu te tiens fièrement sur cette voiturette de renouveau. Aujourd’hui 30 ans, avec 10 ans retiré à ton compteur, pourtant implanté dans ta peau et dans ton honneur. date et lieu de naissance ~ Ta marâtre était si impatiente d’aller cueillir des pommes afin d’accomplir la meilleure tarte que ton père n’a jamais goûté : mais c’est toi qui apparus, froissé et en pleur, dans ses frêles bras. Le mois de septembre t’appartient, né le 1er du mois à la fin des années quatre-vingt. Tu te rappelles encore des feuilles colorées qui séchaient lentement sur le sol de ta ruelle alors que par une fenêtre grande-ouverte tu entendais : « Caliss ». T’étais bien au Québec. Il n’y avait aucun doute là-dessus. nationalité ~ Tes collègues de classes te regardaient toujours un peu de manière étrange lorsque tu précisais que tu ne parlais qu’anglais à la maison. Ta mère, New-Yorkaise, savait très peu parler ta langue natale. Ça n’empêchait pas un flot continuel de paroles. Ton père, Québécois de la classe moyenne apprit tant bien que mal l’anglais simplement pour séduire la belle. Le couple t’a toujours paru étrange. Mais tant que t’es heureux, où est le mal ? métier ~ Tu es propriétaire d'un pub. statut civil ~ Des petites amourettes de jeunesse qui ne reposaient sur rien de tangible. Une adolescence expérimentée du mieux de ton savoir et dans les âges où il est recommandé de trouver ton âme sœur et commencer le processus « familial », tu étais derrière les barreaux à attendre, patiemment de pouvoir passer en cour d’appel. Où ton seul contact féminin était la raison pourquoi tu reposais dans une cellule. Enfin, la raison : tu étais le seul responsable de tes gestes. statut monétaire ~ Tu ne serais pas où tu en es aujourd’hui si ce n’était pas de l’aide de tes parents : surtout ta mère qui était une femme assez réputée dans le monde des affaires. T’as officiellement un an de salaire dans ton compte bancaire, avec les frais conventionnels à tenir une compagnie et tenter de te faire vivre normalement. Tu te démerdes, en bon français. groupe ~ save the last chance

all night long slow down the song
x Tu regardes la bicyclette dans le fond de la ruelle. Une carcasse rouillée qui n’a plus aucune utilité. Des roues volées, un guidon massacré, une chaîne manquante. Pourtant, tu ressentais le besoin de la prendre, la faire tienne. Lui redonner un coup de renouveau et l’utiliser à ses fins. Car ton père n’a jamais eu l’argent pour t’offrir le dernier modèle et ta mère était beaucoup trop près de son argent. Tu te limitais, dans la demande de cadeau de noël. Tu voulais te créer un modèle unique et montrer aux autres garçons de ton âge à quel point t’étais fier. Mais la bicyclette, elle continua de rouiller contre son mur de brique jusqu’à ce que le camion de poubelles fuie avec elle.

x L’été venait de passer. T’as rien vu, t’as rien vécu. Toujours à te proposer à tondre l’herbe des voisins ou passer les journaux : tu n’étais pas très bien accueilli à la maison pendant l’après-midi. Déjà, tes parents ne te voulaient pas sans surveillance et ils n’appréciaient pas tes tendances à vouloir t’installer devant la télévision. Alors tu passais ton temps à jouer à l’extérieur avec des inconnus ou d’aller t’installer chez un de tes oncles. T’aimais bien quand il te permettait de jouer de la guitare. Et tu chantais, même si tu n’avais pas mué. Tu chantais en anglais et tu oubliais progressivement ta langue natale. Et lorsque tu remettais le pied à l’école, t’avais l’impression d’être différent des autres et tu te tordais la langue pour parler le bon vieux québécois.

x T’installais tes petits bagages dans le coffre du bolide de ton père. T’avais eu le temps de dire adieu à tes amis et embrasser une partie de ta famille. Ton avenir n’était plus au Québec. Ta mère avait terminé ses plans économiques dans ta ville et elle devait retourner là où elle provenait. Ton père, qui n’avait rien qui l’accrochait tant à ce magnifique bout de pays décida de se plier à ses souhaits et de déménager dans ce coin de terre bruyant et étouffant. Un regret, cela va de soi. Ils avaient néanmoins attendu que tu termines le secondaire pour ne pas chambouler le processus scolaire. De plus, ton nom était déjà inscrit dans le registre d’une école américaine. T’avais eu la permission de jouer un peu de guitare pendant le trajet. Ton oncle te l’avait légué car il voyait du potentiel dans le mouvement de tes doigts et ton oreille musicale. T’avais un avenir dans ce domaine.

x On te souhaitait de devenir un élève populaire. T’avais les bras pour défendre l’équipe de football ou même attaquer l’équipe adverse. T’avais le talent pour t’installer sur une scène et charmer l’auditoire. Mais t’es amis, ils n’étaient pas approuvés par ta famille. Parce que tu commençais à rentrer tard. Parce que t’étais peut-être un peu trop influençable. Que tu riais des gens plus faibles que votre groupe. Ça te pesait sur la conscience. T’arrivais pas à comprendre pourquoi tu continuais. Pourquoi tu surveillais en dehors d’un dépanneur pendant qu’un de tes potes cambriolais le vieil homme à la caisse. Pourquoi tu bloquais le chemin d’une dame pour qu’un autre lui vol son sac à main. Pourquoi tu devenais un enfoiré ? Heureusement, un peu moins d’un an par la suite, tu reviens les pieds sur terre. Parce que deux des étudiants, ils ont été arrêtés et franchement, tu ne te souhaitais pas un casier judiciaire aussi tôt.

x Tu traverses la porte. La musique, elle faisait vibrer les appartements à plus de trois rues de là. Tu savais que ça annonçait quelque chose de gros. On t’accueillit avec un verre d’alcool à la main en t’obligeant de le prendre d’un coup sec. T’avais jamais vraiment réessayé l’alcool depuis que t’as frappé dans un mur parce que le commis au McDo t’annonçait qu’il n’y avait pas de milkshake pour l’instant. L’alcool, ça te rendait différent. Un peu violent, hors de toi, à fleur de peau. T’aurais aimé d’être de ceux qui rigolent pour un rien. Devenir un peu plus « bon vivant ». Mais ça te sortait une personnalité que tu n’avais jamais su existante dans tes entrailles. Mais tu te laissas quand même emporter par l’ambiance festive. La soirée, tu ne t’en rappelles pas. Mais tu t’étais réveillé dans des substances qui ne semblaient pas parvenir de toi : dans un appartement que tu ne reconnaissais pas.

x T’essayais encore d’essuyer l’huile sur tes mains. T’aimais bien passer ton temps à réparer des véhicules gratuitement dans le garage du coin, au lieu d’étudier. Mais t’appréciais pas de sentir le gaz pendant des journées entières par la suite. Et le noir qui ne semblait jamais détacher tes mains. T’allais essayer le remède miracle de ta mère en retournant à la maison. Mais t’as pas eu le temps de te rendre jusqu’à cet havre de paix. À peine un cri perceptible. Déjà camouflé dans la nuit froide. Tu t’étais arrêté. Tu avais écouté. Le vrombissement des moteurs vibrait encore contre tes tympans, mais ça t’empêcha pas de longer les murs et de jeter un petit coup d’œil dans les ruelles. Plus t’approchais de la source, plus le monde ralentissait autour de toi. Plus le sang circulait en toi dans une vitesse accablante. Quand ta silhouette vient à se dessiner à la sortie de la ruelle. Ton ombre longeant le sol sur une scène alarmante. Et tu sentis le bourdonnement de ta pression artérielle se glisser partout dans ton corps lorsque ton regard s’accrocha à ces deux perles noisette affolées. Le sol glissait sous tes pieds. Ta main empoignant avec une force démesurée le collet de l’agresseur. T’allais pas laisser des ordures comme ceux-là établir leur petit business dans le fond d’une ruelle. T’allais pas laisser une merveille, comme cette victime, crouler sous le poids d’une honte inconcevable. Si tu pouvais empêcher ça, t’allais le faire. Même si t’avais que 19 ans. Ton poing, il n’a pas cessé de s’écraser sur son visage. Tu sentis ses cartilages exploser sous tes jointures. Tu l’entendais gargariser sous le flot de sang qui s’échappait de sa grande gueule. Il s’étouffait avec ses propres sécrétions rougeâtres. T’as peut-être abrégé ses souffrances avec un ultime coup à la tête. T’en sais rien. Tu te sentis projeté vers l’arrière, tenu par des policiers. Le son revenait de plein fouet dans ton crâne et tu levas un dernier regard vers cet animal effaré. T’étais devenu un danger, en voulant chasser le danger. Tu sais pas ce qui s’est passé. Pourquoi. Mais t’oublieras jamais. T’as peut-être sauvé de nombreuses vies en retirant celle-ci du pays. Au dépend de la tienne.

x L’Était voulait absolument que tu t’armes d’un avocat, mais tu refusas catégoriquement. Ta mère surtout tentait de te trouver l’un des meilleurs en ville mais tant que tu n’acceptais pas le contrat, personne ne pouvait t’aider dans ce procès. Procès court, peut-on dire. Parce que tu t’es levé et t’as plaidé coupable pour meurtre au second degré, directement. Tu avouas avoir eu pleinement contrôle de tes moyens cette soirée-là. T’étais capable de dicter le moindre geste, la moindre respiration. T’avais pleinement conscience de ce que tu faisais. Tu voulais sauver quelqu’un, pour une fois. Et t’avouas avoir été trop loin. On te demanda si t’étais prêt à refaire la même chose et tu te tiens en silence. Le maillet retentit. T’avais 19 ans, ta majorité tout prêt d’être atteinte. Mais la cour te jugea néanmoins comme un adulte pour la gravité du cas. On t’annonça que t’avais la possibilité au droit de parole après 10 ans, pas avant. On t’installa dans une prison juvénile jusqu’à l’âge adéquat, puis on te transféra deux ans plus tard.

x Un garde s’installa près de toi en te laissant soulever un dernier coup de barre avant que tu ne te redresses sur le banc. Tu lèves un visage couvert de sueur vers lui et il t’annonça d’une voix trop portée pour l’occasion que tu avais de la visite. Ta mère, elle était venue que quand t’étais en juvénile. Ton père, pas encore une seule fois. C’était peut-être lui, qui sait ? Il t’avait bien dit au téléphone qu’il allait passer bientôt. Même si ça faisait déjà une semaine de cette conversation-là. Tu te lèves en prenant ton chandail blanc dans tes mains et tu le passas au-dessus de ta tête pour l’enfiler. Tu ne t’étais pas vraiment laissé aller en prison. Tu continuais de faire du sport quand tu le pouvais. Les repas étaient infects, ça tu ne t’en sauvais pas. Mais tu te contentais. Et t’évitais le plus possible de te mettre dans la merde. Ça t’arrivait d’avoir du sang sur toi, mais seulement parce que t’étais à la mauvaise place, au mauvais moment. Mais tu réussissais à garder la tête haute. Pas trop, pour ne pas être arrogant. Mais assez pour mettre ton pied devant. Pas t’faire écraser. T’étais un bon joueur de carte, les plus vieux t’appréciaient bien. Dans tous les cas, la personne qui t’attendait de l’autre côté de la vitre : ce n’était pas un homme. Donc loin d’être ton père. Et beaucoup trop charmante pour être quiconque que tu connaissais. Mais par contre, tu ne pouvais pas oublier son regard. Tu voyais encore son âme détruite qui reposait dans son regard. Tu t’écrases, avec un petit frottement dans ta barbe et tu décroches le combiné. T’as été le premier à parler. Le premier à lui demander si ça allait. Parce que dans toute cette histoire, c’était tout ce qu’il y avait d’important. Pas même son nom ne surpassait son bien-être. T’étais qui de toute manière, pour te soucier tant de cette beauté ?

x C’était une sensation étrange. Tu la voyais devenir femme et se déployer telle une fleur sauvage alors que tu te transformais lentement en l’image d’un motard. La barbe que tu tenais légèrement taillée, même si tu craignais toujours de te faire couper la tête par l’homme qui s’occupait de ça. Les deux gardes qui se tenaient toujours autour de lui quand il s’appliquait dans les cheveux d’une personne : c’était toujours un peu angoissant. Y’avait aussi ton corps qui se couvraient de symboles et de motifs tortueux. T’échangeais un peu l’argent que ta mère te déposait dans un compte contre ces services. T’as même commencé à fumer dans cette cage. T’avais l’impression que t’allais la briser si tu l’effleurais, cette Lena. Pourtant, ce n’était pas l’envie qui manquait. Surtout lorsque vous pouviez vous rencontrer dans l’espace public. T’avais peut-être une cheville enchaînée, mais ça ne t’empêchait pas de la prendre dans tes bras. 1…2…3…4…5 et tu coupais. Vous n’aviez pas le droit à plus. Et tu t’allumais une clope. Parce que tu devais te calmer. Tu passes toute de même une période de ta vie supposée, selon ton père, être une période active sexuellement : enfermé en prison. T’avais jamais rien à dire sur ce qui t’entourait. Mais tu l’écoutais elle.

x Ta mère, elle avait des contacts. Elle arrivait à ta table avec des grands plans sur des immenses feuilles blanches. Des papiers à lire à n’en plus finir. Elle t’avait écouté. Elle ne t’avait jamais jugé pour ton geste et elle n’avait jamais eu honte que tu sois son fils. Même sur ces photos où le sang t’éclate à la figure. T’étais son fils avant tout et elle jugeait ton action comme étant une simple erreur. Elle comprenait tes intentions. Elle allait aussi tout faire pour te permettre de mettre un pied en dehors de ce lieu et de ne pas te sentir dépaysé. Elle t’écrivait déjà un avenir beau, selon tes propres rêves. Tu voulais devenir propriétaire d’un pub. Elle avait trouvé un local libre. Elle avait fait les démarches anticiper les rénovations. Elle avait embauché une designer d’intérieur qui était venue te rendre visite pour prendre en note ta vision. Elle acquerra un droit à la vente d’alcool et elle avait passer des entrevues pour l’embauche d’employer. Et tout ça t’attendait dans cette ville encore tant inconnue. Sans même savoir si tu avais la possibilité au droit de parole.

x Tu regardes le juge avec un nouveau silence qui te pesait au cœur. Tu n’avais visiblement rien à te reprocher dans les dix dernières années. Les batailles dans lesquelles tu as participé ont été lavé de ton dossier, comme tu n’as montré aucune résistance face aux gardes et que tu n’étais pas le pion le plus important. Tu cherchais généralement à défendre, plus qu’à attaquer. On te laissa longuement seul dans cette salle qui t’avait tant perturbé dix ans auparavant. Et le verdict tomba après de nombreuses minutes de délibérations qui frôlèrent presque l’heure d’attente. Libération conditionnelle. Et les conditions : elles étaient longues. C’est tout de même dans un soupire de soulagement que tu te courbas devant le juge afin de le remercier, les mots manquant de présence sur ta langue. On t’assigna à un organisme de surveillance dans le quartier. On t’obligea à te trouver un métier et un appartement potable afin de te faciliter le retour en société. Mais t’étais déjà en société, même en prison. C’est encore avec l’aide de maman que tu traversas ces quelques étapes et que tu acquis à la fois le studio au-dessus du pub et un appartement relativement petit près du Bronx.

x Tu jettes le chiffon à ton épaule et tu regardes le pub, silencieusement, le cœur gros. T’étais fier. Tu n’étais pas présent pendant sa construction, mais c’était tout de même ton « bébé ». T’avais fait installer des télévisions pour permettre aux hommes et aux femmes de regarder les matchs sportifs intéressants. Dans l’après-midi, lorsque t’as que des vieux : tu mets parfois le poker ou la pêche. Ça semble leur plaire. Tu replaces les chaises et les tables, tu remets les boules de billards à leur place. Tu passes un coup sur les canapés sur lesquels un peu de boisson avait coulé. Tu regardes l’éclat verdâtre du nom de ton pub éclairer le devant du bâtiment. Tu saluas le dernier employé qui quitta les lieux avant de tourner la pancarte sur le côté fermeture et de fermer les lumières extérieures. Tu te retournes et tu souris. Le début avait été difficile, surtout que ton nom est apparu assez rapidement dans les journaux à potins : dans des articles plus qu’inutiles. Mais les gens commencèrent à venir. Tâter les lieux et bientôt des habitués prirent place. Et tu jases avec eux. Et tu les écoutes. Et tu leur donnes des tapes dans le dos. T’aimes le monde. Et t’espère un jour qu’une silhouette oubliée traverse cette porte.

partie de caractère " C'est le genre d'homme qui aime être bien entouré. Ce pourquoi il a envisagé l'obtention d'un pub qu'il trouve beaucoup plus amical qu'un bar. Il est rapidement fier pour un rien : avoir une belle femme à son bras, terminer sa pinte de bière en premier, avoir son équipe sportive sortir vainqueur d'un tournoi. On pourrait dire qu'il prend de la place et qu'il déplace de l'air entre autre à cause de sa prestance. Sinon. Il est très terre à terre et il a rarement des idées de grandeur (sauf celui du pub) car il a vu sa vie se détruire sous ses mains. En parlant de ses mains : c'est un homme à tout faire. Il comprend rapidement le mécanisme derrière les choses et il les répare. Il cache sa déprime derrière une force de caractère un peu déstabilisante. Même sil est le premier à empêcher les bagarres, il est aussi le premier à montrer les poings. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds et fait preuve d'attaque très vite lorsqu'on le froisse. Il a toujours été quelqu'un de protecteur. Autant pour ses parents, ses cousines et peu importe l'âme en danger. Lorsqu'il rumine, il a tendance à boire. Faut pas l'emmerder dans ce temps là : il devient un gros ours noir sauvage. Sinon, c'est un peu le type romantique cliché. Il a tout appris dans les films et n'a jamais vraiment rien expérimenté comme il a passé la moitié de sa vie derrière les barreaux. Il aime généralement le calme et la nature, comme il aime le bruit et les voitures. Quand il le peut: il tente de remettre à neuf de vieilles bagnoles de collection. [...]"

cause we're ready for the fame.

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Dernière édition par Blair Arsenault le Ven 16 Nov - 0:36, édité 7 fois
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Nora Hortega
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statut civil : je suis encore là, avec toi. je ne suis nulle part d’autre qu’avec toi.
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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyJeu 15 Nov - 10:49

re bienvenue parmi nous petit chat an outlaw on the run never deserved any help. 3542511262 an outlaw on the run never deserved any help. 3542511262 an outlaw on the run never deserved any help. 3542511262
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Lena Andersson
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age : vingt-cinq ans, âge qui te colle à la peau, trentaine se rapproche un peu trop près.
statut civil : célibataire, bien que ton sauveur hante tes pensées, cet homme dont tu ne connais rien et à lequel tu as rendu visite de nombreuses fois, en prison.
job/métier : héritière au trône de suède mais propriétaire d'une boutique de fleurs depuis quelques années déjà, un passe-temps que tu possèdes et ce depuis ton arrivée à new york.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyJeu 15 Nov - 10:55

t'es beau an outlaw on the run never deserved any help. 82367690 an outlaw on the run never deserved any help. 974093833 
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Dovydas Vasilyev
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statut civil : lone wolf, although flowers start growing in the darkest parts of his heart
job/métier : hustler, volunteer at a lgbt youth centre in his neighborhood

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyJeu 15 Nov - 11:04

oh ça promet an outlaw on the run never deserved any help. 1300897557
rebienvenue an outlaw on the run never deserved any help. 974093833
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Christian Miller
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age : trente cinq ans.
statut civil : une femme dans le coma, une escort à ton bras, plutôt compliqué.
job/métier : acteur connu médiatiquement.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyJeu 15 Nov - 11:09

rebienvenue à toi an outlaw on the run never deserved any help. 859726454
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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 0:38

@Lena Andersson Dixit la plus belle de toutes.

@Nora Hortega @Dovydas Vasilyev @Christian Miller Merci les beautés. an outlaw on the run never deserved any help. 3895158862
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Vincent Grimaldi
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age : trente-quatre chansons.
statut civil : célibataire, mais impossible pour lui d'oublier les yeux de cette femme à présent.
job/métier : héritier du trône de monaco et collectionneur d'art.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 5:29

j'ai pas encore tout lu, mais le début c'est vachement cool. an outlaw on the run never deserved any help. 70295360
bienvenue, puis le choix d'avatar c'est juste parfaiiiiiit. an outlaw on the run never deserved any help. 974093833
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Peter Barckley
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age : 27 ans.
statut civil : Amoureux de la mère de sa fille.
job/métier : Cuisinier & héritier d'une grosse affaire immobilière.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 6:06

Ouelcome ! an outlaw on the run never deserved any help. 1113383775
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age : tout juste vingt-cinq pétales de roses déjà trop fanées sous l'influence de l'alcool et de la drogue.
statut civil : en couple, amoureuse de ton meilleur ami après avoir passé un long moment sans être dans ses bras.
job/métier : mannequin ainsi qu'un court début en tant qu'actrice dans un film mais derrière tout ça, nouvellement sortie de son centre de désintoxication.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 8:06

tout est bon pour moi an outlaw on the run never deserved any help. 2352406129
bon jeu parmi nous et n’oublie pas de recenser ton avatar dans le bottin an outlaw on the run never deserved any help. Herz
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Lena Andersson
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age : vingt-cinq ans, âge qui te colle à la peau, trentaine se rapproche un peu trop près.
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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 11:19

Blair Arsenault a écrit:
@Lena Andersson Dixit la plus belle de toutes.

@Nora Hortega @Dovydas Vasilyev @Christian Miller Merci les beautés. an outlaw on the run never deserved any help. 3895158862

je l'espère bien an outlaw on the run never deserved any help. 82367690
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Artyom Kolston
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statut civil : hanté par l'âpreté de bouffées de fumées cendreuses et des embruns solaires
job/métier : ex-militaire, détective privé

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 13:21

J'vois que j'suis pas la seule à craquer face au tc an outlaw on the run never deserved any help. 3895158862

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Rebienvenue, tes bô mon pipou an outlaw on the run never deserved any help. Herz an outlaw on the run never deserved any help. 3364237943
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statut civil : célibataire, mais elle ne cesse de peindre le visage de ce prince qui l'intrigue tant.
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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptyVen 16 Nov - 13:40

me gusta esa barbita an outlaw on the run never deserved any help. 82367690 an outlaw on the run never deserved any help. 974093833

re-bienvenue an outlaw on the run never deserved any help. 3768101868
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Jazz Asworth
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age : trente et un ans, le temps passe mais elle ne s'y attarde pas vraiment, vieillir fait parti de la vie.
statut civil : veuve depuis deux ans, elle a perdu l'amour de sa vie dans un accident de voiture. Elle ne croit plus vraiment à l'amour et tout ce qui va avec...
job/métier : chef cuisinier mais escort girl la nuit pour payer les crédits et les factures qu'elle accumule depuis deux ans.

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MessageSujet: Re: an outlaw on the run never deserved any help.   an outlaw on the run never deserved any help. EmptySam 17 Nov - 11:34

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