l'indésirable désiré.

Invité

maxton hamley
*insérer une citation sur les non-voyants ici.*
© moi/critiquedescitationsaveccommeterme"Blindness"

never trust or love a wild thing.

âge ~ Un petit 20 ans miteux tout juste, encore considéré un gosse par le gouvernement (et pas mal tout le monde). De toute manière, avec la manière dont il est traité au quotidien il se demande s'il n'a pas 2 ans ou même 82 ans (s'il n'avait pas appris à bien visiter les chiottes, il aurait sûrement hérité d'une couche). date et lieu de naissance ~ Il est venu au monde à une date banale, pour une enfance banale, avec une personnalité banale. S'il était écrivain, il aurait sûrement nommé son livre de cette façon, pour ne pas intéresser les lecteurs à se le procurer. Plus clairement : il a vu le monde pour la première fois le 7 juin 1998.À le regarder lui et ses hobbies de princesse, y'a dequoi douter qu'il provient réellement des entrailles du Bronx. Lorsqu'on lève les yeux plus haut, vers le paternel et qu'on creuse un peu plus loin dans son entreprise, on obtient les réponses à nos questions. Un artiste peintre dans le Bronx, quelle mauvaise blague. nationalité ~ Pour lui, il est américain. Il vit en Amérique. Ses amis sont américains. Sa nourriture est grasse, perfide et américaine. Si son père vient d'ailleurs, il n'en a jamais eu conscience. Pas même les origines de sa mère qu'il pouvait voir du coin de l'oeil au maximum une fois par semaine. Et par coin de l'oeil on parle ici d'une porte de chambre entre-ouverte. Mais, y'avait quand même cette colère caractéristique aux Russes dans le caractère de son père. À moins que c'était le côté irritant des français ? Peu importe. métier ~ Il l'envisageait cette job d'artiste peintre. Ça allait sûrement rien lui ramener, il allait sûrement aussi crever dans la misère mais au moins il serait passionné. L'odeur de la peinture fraîche lui colle encore dans le nez. C'était sa drogue. Il avait réussit avec peine et misère à se faire inscrire à l'école dans ce domaine. Comme si son père voulait que son fils crève la dalle sur le coin d'une rue. Après, il s'attendait à quoi d'un fils qui porte le prénom Maxton ? Il allait sûrement pas finir le notaire le plus reconnu des États-Unis. Mais bon, comme le dirait n'importe quel individu à qui arrive une badluck "shit happens". Il semblerait qu'il soit aveugle maintenant ! Surprise ! Et qu'en plus, il a été vendu à un homme....? Une chose n'explique pas l'autre. Disons qu'il vit, mais la situation le rend assez perplexe. statut civil ~ Que dire. Est-ce qu'il rêvait d'une vie différente de celle qui lui est tombée dans les bras il y a un mois ? Bien entendu. Est-ce qu'il aurait bien voulu d'une relation stable où ses yeux et son coeur d'artiste aurait admiré et dévorer un homme d'amour ? On peut y croire. Mais voilà que son coeur s'est remplie d'une certaine amertume depuis son accident, encore à ce se demander pourquoi on l'a rejeté de cette manière. Il ne voit plus rien au concept de l'amour. N'en éprouve plus aucun attachement. Il est plus en mode survie qu'entrain de se soucier de choses aussi futiles. statut monétaire ~ Il est mal placé pour connaître l'état en banque de sa gardienne. Il n'arrive même pas à voir s'il s'habille en hobo ou s'il a des vêtements dignes d'être à la tête d'une compagnie. Avec sa manière de vivre, il opte plus pour le hobo. groupe ~ really don't care.

all night long slow down the song

Enfant aisé, parents absents. C’est généralement une formule gagnante dans tous les drames existants. Une déficience sentimentale qui avait la possibilité d’expliquer son attitude. Mais rien de son caractère était à reprocher, mais ça, ses parents ne le sauront jamais. Papa trop occupé dans une « business » trop secrète pour être dévoilée à son fils. Même lorsque celui-ci devait récolter des informations pour un oral à propos de son paternel. « Dis-leur que j’travaille dans l’étranger et que j’envoie de la marchandise en retour de quelques services particuliers ». Aucune surprise face au résultat : il avait échoué. Même chose lorsqu’il devait parler de sa mère qui se satisfaisait uniquement de poser une main sur son crâne et lui demander d’aller jouer ailleurs. Clairement, ses parents ne vivaient pas la grande histoire d’amour. Dans la maison, il y avait beaucoup plus de cris que de rire. De toute manière, une famille aimante, ça existe dans le Bronx ? ► Repas congelé par-dessus repas congelé, son estomac se mit à quémander quelque chose de plus consistant. Et alors que les aliments pourrissaient plus vite dans leur frigo qu’un corps sur le point d’être enterré : Maxton s’est très tôt amusé à concocter des recettes à même le sol, sans même savoir si ça faisait du sens ou non. Régulièrement malade ou intoxiqué face à ses recettes, brûlé ou coupé par les accessoires de cuisines : l’enfant se soignait du mieux qu’il pouvait et ne baissait jamais les bras. Lorsqu’il était en état de pouvoir lire, il porta davantage d’intérêt à la cuisine et beaucoup plus de soins. Même s’il n’avait aucun attachement pour ses progéniteurs, il lui arrivait de leur laisser des portions dans le frigo ou dans le micro-onde. Plus souvent qu’autrement, il devait jeter la nourriture. ► Maxton passait beaucoup de temps dans la classe d’arts-plastiques. Sur les heures de diner, il demandait qu’on lui ouvre la porte afin qu’il puisse s’isoler. Cette attitude changea progressivement en même temps qu’il gagnait des années. Son côté introverti se changea rapidement en extroverti lorsque les étudiants se mirent à s’intéresser à son talent. Tout ce qui nécessitait de l’imagination, de la créativité et une tête : l’enfant excellait généralement dans ce domaine. Bientôt se joignirent à son cercle d’amis des étudiants plus portés vers les fêtes. Il ne sut jamais si on l’invitait par choix ou par obligation. Mais comme le principe du plaisir lui a été dissimulé toute sa jeunesse, il devient presque une bête de foire et son côté artiste se ternit progressivement. Jusqu’à ce qu’il tombe en amour. ► Quelque peu romantique dans l’âme même s’il n’avait aucune notion de l’amour : il était simplement capable d’étendre ses émotions sur des toiles et de les offrir par la suite. Il devenait tant inspiré qu’on lui demanda de peinturer une muraille dans l’école secondaire du Bronx. Les couleurs s’étalaient et coulaient au rythme de ses coups de pinceaux. On s’intéressa à lui et à ses projets. Mais jamais personne ne sut pourquoi il créait quelque chose de si beau et de si paisible : car il n’avouera jamais à la fille qu’il l’aimait. Il n’eut jamais le temps et jamais le courage qu’un autre garçon emprisonnait déjà ses lèvres et son corps. Bientôt, ses pinceaux se brisèrent sous la pression de ses sentiments détruits. Et la muraille ne ressembla plus à rien de mémorable. Le fils, puis l’artiste incompris. L’alcool et les fêtes redeviennent son art primaire. ► Il décida de ne plus se concentrer sur une seule personne et offrit de nouveau ce côté ouvert et festif que les gens commençaient à s’ennuyer. Il sortait çà et là lorsqu’on lui en offrait l’occasion. Il s’aventurait sur des terrains inconnus, constamment. Mais il se sentait en vie et c’était ce qu’il y avait de plus important pour lui. Maxton jonglait constamment entre le fêtard et l’artiste, mais trouvait aisément le juste milieu pour obtenir une vie de tout régale. ► Le jour J. l’artiste portait le dernier coup de crayon sur le visage d’un mec. Une main serra son avant-bras afin de l’attirer plus loin tandis que le responsable de la soirée mettait fin au spectacle. Déçu, mais accompli, Maxton était sorti avec son meilleur pote du moment. Celui qui ne l’a jamais abandonné et qui lui a toujours apporté toute l’attention que l’enfant unique avait de besoin. Celui qui savait le faire rire et le poussait constamment à avancer dans un avenir rempli de succès sans jamais regretter son passé. Tous les deux tenaient encore un verre de plastique rouge à moitié rempli d’un liquide nauséabond. Ils les jetèrent par-dessus la voiture avant de se laisser glisser dans l’habitacle. La soirée pour eux était encore jeune. Ils décidèrent de faire un peu de vitesse sur des rues plus ou moins désertes, faire fumer les pneus, chanter à tue-tête. L’adrénaline et la joie de vivre les rendait invincible…Ou presque. Dernière pression sur l’accélération, tournant trop abrupte et voilà la voiture qui pique nez premier dans un ravin, arrêtant radicalement une soirée qui crèvera dans les annales. Fumée, éclat de vitre, essence, agonie. L’un ne disait plus un mot alors que le second criait de douleur et de détresse, écrasé au fond du toit. Il n’articulait rien d’autre que des plaintes, sans parvenir à voir, ressentir et ni appeler son meilleur ami. Il finit par s’évanouir. ► Noir, complètement noir. Le corps en mille morceaux, le cœur écrasé. Il entendait des pleurs dans sa chambre parmi le son aigu incessant dans ses tympans. Ça ne pouvait pas être ses parents. Ils sonnaient comme ceux de son meilleur ami. D’un coup, il tombe malade. Mais il ne voit rien. Des pansements recouvraient ses yeux endoloris. La salive s’écoulait au sol avec la boisson de la vieille. Il sentit des ongles fins dans ses cheveux, appartenant forcément à sa mère. Il reconnaitra ce geste parmi milliers. Raclement de la gorge de la part de son père qui prononce ces quelques mots : « Mes condoléances ». Tout son corps se refroidit. Il avait l’impression de mourir avec lui. Alors qu’il se mit à crier, des larmes chaudes et brûlantes imbibant les pansements. Maxton essaya de les retirer..Et une fois qu’il ne sentait plus leur présence, il ne vit pas devant lui. De la lumière, terne, changeante, éclatante. Jamais la même. Il virait fou. Complètement. Il ne comprit pas dans l’immédiat qu’il n’allait pu avoir la possibilité de voir, sa vision obstruée et détruite par les produits chimiques présents dans la voiture qui se sont écoulés dans son système et sur son visage pendant l’accident. Il se disait adieu, comme il disait adieu à son meilleur ami. ► C’est avec frustration qu’il brisa ses derniers pinceaux. Qu’il déchira les papiers qu’il parvenait à atteindre, qu’il faisait éclater au sol tout le contenu de ses bureaux. C’est avec amertume qu’il recommença à manger des repas congelés sans avoir la chance de retoucher à aucun instrument de cuisine. Pas après s’être ouvert profondément la main avec un couteau qu’il croyait un autre accessoire. Cette maison qui a toujours été la sienne, il ne parvient même pas à retrouver ses repères. Les pièces ne faisaient pas de bruits. Lorsque son père était présent, il parvenait à situer le salon. Lorsque sa mère était là, la salle de bain ou leur chambre. Avec très peu d’aide et beaucoup de crises, il tentait de s’habituer à sa situation et avant même qu’il ne puisse s’y faire, on le força à s’établir de nouveaux repères. ► Maxton n’en voudra pas à ses parents de l’avoir rejeté. Avoir été l’adulte, il se serait forcément débarrassé de ses parents et bien avant le temps. Il en veut à ses parents de ne pas l’avoir jeté dans un appartement seul. Il leur en veut d’être tombé dans un endroit qui empeste la cigarette. Il leur en veut parce qu’il lui arrive beaucoup trop souvent de toucher le corps découvert d’un homme en voulant se rattraper pour ne pas tomber. Il leur en veut parce qu’il s’est fait arracher la tranquillité dans laquelle il avait toujours vécu. Il en veut à cet homme rabat joie qui n’a aucun respect pour son entourage. Qui chiale parce que le voisin met sa télévision trop forte alors qu’il met lui-même sa musique de nombreux décibels de trop. Il en veut à sa propre imbécillité qui lui coûta la moindre beauté d’un avenir d’artiste. Il ne connait pas les histoires entourant son père. Il ne comprend pas pourquoi il se retrouve dans cet endroit miteux. Comme si avec sa vue s’envolait son nom et sa cuillère d’or.

caractère : Lorsqu’on vit un choc émotionnel ou physique important, il est rarement possible de redevenir celui qu’on était auparavant. Maxton, il était connu pour le garçon souriant et plein d’entrain. Celui qui voulait probablement se faire remarquer, parce qu’on s’occupait très peu de lui à la maison. Il était assidu sur tout ce qu’il entreprenait, s’ouvrait facilement aux autres adolescents de son âge et cherchait constamment à repousser ses limites. Lui qui avait peur des hauteurs s’est déjà lancé du haut d’un toit. Bien entendu, il avait une corde élastique attachée à ses hanches et un trampoline amortissant semblait l’attendre tout en bas. C’était un garçon plein de vie. Qui voyait grand. Qui se souhaitait tout ce qu’il y a de plus beaux. Mais voir, ça ne lui est plus donné. Quelque chose d’inné qui lui fut arraché tout dernièrement. Pour une imbécilité. Vous savez, ses publicités qui disent « l’alcool au volant c’est maaal ». En effet, l’alcool au volant c’est mal et vous saurez pourquoi. Aujourd’hui, toute cette joie de vivre est restée dans l’accident de voiture. Son attitude s’est calmée, prenant avec une ironie épouvantable sa situation. Il en rit, mais jaune. Une approche à la vie qui peut rendre mal à l’aise bien des gens. Ceux qui ont trop de cœur, trop d’empathie. On dit qu’il combat le choc et la dépression de cette manière. C’est le cœur lourd et avec beaucoup d’entêtement qu’il tente de réapprendre les notions de la cuisine. Même s’il se blesse, même s’il échoue, il continue. S’il n’arrivait pas à attraper les cœurs des hommes, au moins, il emprisonnait leur ventre avec son talent en cuisine. Il ne veut pas perdre ça. Sa situation l'énerve. Ses nerfs semblent constamment à vifs malgré ses traits visiblement calmes. Il n'aime pas dépendre autant d'une personne, inconnue en plus, alors qu'il a passé sa vie entière à s'occuper de lui, seul. Dans son crâne, le tic-tac est lent, constant et puissant. La sensibilité qu'il a acquise récemment le fera possiblement exploser, dégueuler ses émotions, les étaler sur les murs. Si on le blesse, si on le froisse, il semble se tourner en petit prince malhonnête. T’as envie de le faire chier ? Subit les conséquences de celui qui veut tout. Celui qui veut plus de sel sur ses œufs ou plus de sucre dans son café. Celui qui veut les fenêtres ouvertes même avec un froid de canard simplement pour porter plusieurs couches de vêtements. Il ne voit pas ses cicatrices, mais il en a honte. Il ne veut pas que les autres épient son corps sans qu’il n’en ait la chance en retour. Il le voile, il le cache. Il faut subir l’attitude d’un adolescent qui a vieilli trop tôt, croyant tout son contrôle et qui se voit renaître dans la poussière et l’angoisse.

cause we're ready for the fame.

Spoiler:

oh il est mignon l'indésirable désiré. 2352406129

bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche l'indésirable désiré. 974093833

Invité

@Lula Martins Merci Lula. l'indésirable désiré. 859726454

c'est le fameux DC importé dont je te parlais. ~

Invité

Je t’aime d’amour. Tu sais déjà que j’adore ta fiche. Et je te remercie mille fois de prendre ce petit chou. J’espère que tu te plairas ici, bienvenue à la maison. l'indésirable désiré. 859726454

puis le prénom est parfait mon chou. l'indésirable désiré. 2466432865