Calista Bartolotti - La rebelle au grand coeur

Calista Bartolotti
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never trust or love a wild thing.

âge ~ 28 ans. date et lieu de naissance ~ Le 20 mai 1990 à New Yorki. nationalité ~ Je suis américaine avec des origines italiennes et grecque. métier ~ Je suis propriétaire d'un bar. statut civil ~ Je suis libre comme l'air donc célibataire. statut monétaire ~ Dans la moyenne, je me débrouille pas mal avec mon argent. groupe ~ really don't carei.

all night long slow down the song

Vous n’êtes pas sérieux ? Moi raconter mon histoire ? Et bien asseyez vous, je vais essayer de vous la raconter du mieux que je peux. je suis douée pour écouter mais pour ce qui est de parler de moi c’est une autre affaire.

Alors, je suis née dans le Bronx et ce n’est pas un des quartiers les plus facile où vivre de New York surtout lorsqu’on est une enfant. J’y ai grandit durant mes dix premières années, nous avions fini par déménager à Brooklyn. il y avait moi et mon grand frère, il a deux ans de plus que moi et c’est avec l’une des personnes avec qui je me sens le plus proche. Notre mère donc avait un rêve, elle voulait devenir comédienne et à fini par y parvenir. notre père étant en prison, ma mère a fini par refaire sa vie avec un autre homme, on ne pouvait pas l’en vouloir après tout notre père était un homme violent qui n’a pas hésité plusieurs fois à lever la main sur nous trois. Notre beau père quand a lui prenait toujours soin de nous, il veillait à ce qu’on manque de rien. Il était un brillant avocat à l’époque et il avait rencontré ma mère dans un café.

Si j’ai eu mes dix premières années mouvementé à cause de mon paternel, cela s’est assagit avec le temps et j’ai pu me consacrer à l’école, mes amis mais également à mes cours de Kung Fu et de Taekwondo. Je voulais être capable de me défendre surtout avec les misères que mon père nous faisait subir. Je n’étais pas l’une des meilleures en classe, je n’aimais pas cela, je me concentrais plus sur les sports que je pratiquais qu’autre chose et j’étais une des meilleures de mon club sans vouloir me vanter. J’ai gagné nombreux tournois pour le prouver. Un soir, au sommet de mes 16 ans, je rentre tard d’une soirée organisée par un garçon populaire de mon lycée. J’étais totalement saoul et lorsque je passe le pas de la porte, j’ai glisser dans l’entrée et vous pouvez pensé que c’était à cause de l’alcool mais non. Lorsque j’arrive à atteindre l’interrupteur, je tombe sur une scène qui me hante parfois les nuits. Ma mère gisait dans son propre sang qui avait couler à l’endroit où j’ai glisser. Par le choc, je fini par hurler et mon beau père rentrait à ce moment d’un rendez vous d’affaire. Il avait appelé la police et une longue enquête a été mener. On finit par apprendre que c’était ma pourriture de géniteur. Il retourne donc en prison à perpétuité, cela n’a pas atténuer mon chagrin.

Je fus longtemps marquée par les événements pour me venir en aide, mon beau père a fait appelle à un psychiatre, il m’a beaucoup aidé et j’arrive à vivre avec ses images malgré les cauchemars que je peux faire. Ils ne viennent pas tous les soir, seulement durant une certaine période et disparaissent ensuite. Mon frère et moi, cette épreuve nous a beaucoup rapprocher. Et mon beau père, je le considère comme mon vrai père, il aurait pu nous abandonner après la mort de ma mère mais à dire vrai, il a toujours été la pour nous et si j’ai besoin bien que je ne lui demande plus rien depuis longtemps. Il répondra toujours présent. J’ai suivi des études à la fac, malgré le manque de motivation et j’ai décrochée à cette époque un emploi d’étudiant en tant que barmaid à Manhattan. Aimant ce métier, je stop mes études et travail à plein temps jusqu’à il y a deux ans où je tombe dans le quartier de Brooklyn, après un déjeuner avec mon beau père sur un bar en vente. Je décide de me l'acquérir en effectuant un prêt à la banque qui fut plusieurs fois refusé parce que j’étais trop jeune selon les banquiers. C’est encore une fois, mon beau père qui vient à mon aide et m’achète le bar. J’ai bien sûr tenue à le rembourser chaque centime comme s’il s’agissait d’un prêt, je suis bien trop fière pour qu’il m’offre un tel établissement. Je le rembourse toujours d’ailleurs et je suis vraiment fière d’avoir acquis mon propre bar. Il attire de plus en plus de monde et devient un des bars les plus appréciés dans le quartier de Brooklyn. Enfin certains clients savent qu’il ne faut pas me chercher des noises, il paraît que je suis impulsive et bien que j’ai un grand coeur, il m’est déjà arriver de virer certains clients même de venir aux mains. J’ai beau être petite, je sais très bien me faire comprendre quand il le faut.

cause we're ready for the fame.

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